Il arrive que je sois seule et que j'ai certaines envies. Alors, pourquoi ne pas les assouvir.....
Il arrive que je sois seule et que j'ai certaines envies. Alors, pourquoi ne pas les assouvir.....
Un texte que j'avais oublié et que je viens de retrouver. il date de plus de cinq ans...... surprenant !
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Il est 18 h 30. Hier, tu m'as prévenu que tu allais rentrer tard de ton bureau ce soir. Lorsque je t'ai proposé de venir te chercher pour manger, tu as été d'accord, sans trop hésiter à ma surprise du reste.
Depuis 1 h 30, je me pouponne pour toi.
J'ai pris une douche, chaude comme je les aime. J'ai aimé sentir l'eau couler sur ma peau, mes mains savonneuses passant sur mon corps. Mon gel douche parfumait l'air ambiant et je me suis laissée aller à rêvasser comme souvent, imaginant ta présence à mes côtés, sous l'eau.
Je me suis séchée soigneusement. Je me suis mis une crème parfumée pour la peau (Angel).
Je me suis maquillée.
Dans la chambre, je regarde ce que je me suis préparée pour ma visite... de beaux bas noirs (jarretière en dentelle et couture derrière la jambe), un petit porte-jarretelles, un corset qui j'espère te plaira, une jupe noire et longue et des chaussures, noires elles aussi.
Je m'habille, à la fois excitée de la surprise que je te réserve et anxieuse car c'est bien la première fois que j'ose faire une telle chose.
Une fois prête je vais à la cuisine prendre le panier en osier que j'ai préparé un peu plus tôt. J'y ai mis, outre des assiettes, des verres, des couverts et des serviettes (on ne sait jamais, des fois que l'on veuille manger proprement...), une bouteille de vin blanc, du foie gras, des toasts, des tranches de saumon dans de la gelée que j'ai fait moi-même, des petites asperges, et..... du chocolat quasi liquide d'une marque que je ne citerai pas, du sucre, des fraises, des framboises qui sentent délicieusement bon (hummm). Tout est ultra frais et j'espère que ma surprise te plaira, tant au niveau de ma tenue que du pique-nique que j'ai prévu dans ton bureau. Sur une dernière inspiration, j’y ajoute une surprise…. Rouge.
18 h 45. Le panier est à côté de moi sur le siège passager, attaché pour ne pas qu'il tombe. Il ne manquerait plus que ça !
19 h 15. Je suis en bas de tes bureaux. Seul le gardien de nuit est là. Mon manteau long cache ma tenue mais il voit bien mon panier. Nous discutons quelques minutes sur les diners en amoureux, il se rappelle et me raconte brièvement une de ses frasques avec sa chère et tendre... mais je m'impatiente un peu et il le sent... rire. Il m'indique en souriant que tu es seul à l'étage, que tes collègues sont tous partis.... à bon entendeur.... Un dernier sourire en direction de mon complice malgré lui et je pénètre dans l'ascenseur.
Les petites lumières s'égrènent et.... la porte s'ouvre sur le couloir. Je suis déjà venue en journée et j'arrive sans peine à me repérer. Je frappe doucement. A ton signal, j'entre, fais un pas dans le bureau. Sans me retourner, sans quitter ton regard, en te souriant, ma main libre va dans mon dos et referme à clé.
« Dois-je déduire de ton panier que nous ne sortons pas ? »
« Bonne déduction Sherlock. Tu m'en veux ? »
« Bien sûr que non. Nous allons étrenner le canapé et la table basse qui m'ont été livré en début de semaine. Pose ton manteau il fait chaud ici »
« Je vais d'abord poser le panier... »
Je le pose sur la table basse (pas mal du reste !) qui se trouve à ta droite. Je sens ton regard qui me suit. Une fois débarrassée de ce panier, je me retourne vers toi, et, en te regardant, je détache les boutons un à un, lentement. A tes yeux, je vois que tu te doutes que je ne suis pas habillée comme d'habitude. Tous les boutons détachés, je pose mon manteau sur un fauteuil à côté du canapé. J'ai l'impression que tu apprécies.... le « whaouu » que tu viens d'émettre ne me laisse que peu de doute... Je suis contente. Mais ce n'est pas fini. Nous nous regardons toujours et mes mains viennent prendre la fermeture de ma jupe. Un crissement t'indique qu'elle est ouverte.... comme ta bouche. Je fais doucement descendre mon vêtement le long de mes jambes et l'enjambe pour m'approcher de toi. Le spectacle ne t'a pas laissé indifférent : tu as ta main à ton entre jambe et tu regarde mon corset, mes bas, mon string (mini) qui te prive un peu de la vision de mon minou.
Je m'approche, passe entre toi et ton bureau et pose mes fesses sur ton bureau devant toi. Tu me fais m'écarter légèrement et tu me descends mon string. Je me rassois sur ton bureau, te regarde dans les yeux et écartes lentement les jambes.
Mes mains passent sur mes cuisses et remontent. Caressent ma taille, suivent les baleines du corset pour venir vers mes seins. Le corset est ajusté mais je peux sortir la pointe de mes seins et je les caresses doucement. Mes doigts tournent autour des pointes qui commencent de gonfler d'excitation de te voir, bouche bée ainsi sur ton siège, en me voyant faire depuis tout à l'heure. Mes jambes sont maintenant largement écartées et sont de part et d'autre des tiennes.
Je vois tes yeux aller de mes seins à ma chatte. Je vois tes yeux sur mon corset. Je vois ta main s'approcher de moi. Je la prends et la repose sur ton accoudoir. Tu comprends et t'installe au fond de ton siège sans rien dire. Seul un sourire m'indique que tu aimes ce nouveau jeu. Un sourire et la bosse que fait ton sexe dans ton pantalon.
J'ai une main sur mon sein gauche, je le caresse, pince la pointe et recommence. J'aime.
Je te regarde et baisse ma main droite vers mon ventre que je frôle. Elle descend encore et caresse mon pubis. Mes doigts suivent la ligne de mes lèvres plusieurs fois. J'appuie un peu et ils les écartent. Un doigt atteint mon clito ce qui me fait gémir. Tes yeux sur moi.... j'aime à ce moment. Ils me prouvent que je peux t'exciter. Ton gémissement à la suite du mien m'excite également. Mon bassin a tendance à se tendre vers toi mais tu restes sage. Je continue et me caresse maintenant réellement. Mes doigts passent et repassent sur mon clito, tournent autour, passent dessus. Mes gémissements sont de plus en plus forts. Je bouge en cadence.
Ma main gauche a pris maintenant mon sein et le serre un peu, pince le bout, caresse.....
Mes doigts ont abandonné temporairement mon clito pour aller visiter mon sexe. Je te fixe et m'enfonce trèèèèèès lentement un doigt en moi.
Si moi je te fixe, toi tu fixes mes doigts sur mon sexe. Tu fixes et tu gémis mais tu restes immobile malgré la bosse que je vois sans problème et qui doit quelque peu te gêner. Un deuxième doigt est venu en renfort du premier, puis un troisième. C'est bon et je ne m'en cache pas. Tu le vois à mes yeux, à mon liquide intime qui s'écoule de moi, tu l'entends à mes gémissements de plus en plus rapprochés.
Ma main qui était sur mon sein descend et mes doigts viennent exciter mon bouton pendant que je continue à entrer et sortir mes doigts de moi. Tu as l'air d'avoir un peu de mal à trouver ta respiration. Moi aussi. Je sens que je ne suis plus très loin de la jouissance. Tu dois le deviner car tu passes de mes yeux à mon sexe. Tu ne dis mot et pourtant j'ai l'impression d'entendre tes encouragements. Je te regarde et me laisse envahir par le plaisir......
Quelques instants se passent, le temps que je retrouve mes esprits. Je te regarde, tu n'as pas bougé, ton regard me fixe.
« ça va ? Tu te remets ? »
« hummm oui..... mais.... qu'attends-tu pour me nettoyer de ta langue ? Je ne vais pas tacher ton canapé neuf quand même !»
Tu t'approches, poses tes mains sur mes cuisses ouvertes. Elles se déplacent pour les caresser, suivre les jarretelles, caresser mon corset, remonter vers mes seins. Je te laisse faire..... Mais pas trop longtemps....
Ma main se pose sur ta tête et la pousse en avant, vers ma chatte luisante de ma jouissance. Je sens tes lèvres déposer un baiser sur mon pubis, sur mes lèvres.... Je sens ta langue s’immiscer entre mes lèvres, remonter, lécher, lécher encore, avec application, faisant remonter une douce chaleur en moi. Je sens ta langue se poser sur mon clito, tourner autour de la pointe. Je la sens se faire plate pour appuyer dessus. Je sens ta bouche vouloir l’aspirer. Je sens mon bassin s’appuyer encore plus contre ta tête que je tiens toujours contre moi. Je sens mon excitation monter et monter encore. J’hésites… j’ai très envie de jouir encore, et jouir dans ta bouche est un véritable plaisir. Ou t’arrêter là.
J’ai choisi…. Je veux profiter de ta bouche ! A peine mon cerveau a-t-il pris cette décision, que je sens les sommets du plaisir se rapprocher. Mon bassin bouge de plus en plus, ma main te presse de plus en plus contre ma chatte. Tu sembles comprendre mon état car ta langue s’agite sur mon clito. Je sens une de tes mains qui était posée sur ma hanche se déplacer et tes doigts (je ne sais combien) entrer en moi. Le fait de sentir ta langue sur mon clito et tes doigts me remplir ainsi, déclenche une jouissance qui me fait pousser des cris que je n’arrive pas à garder en moi comme je le fais d’ordinaire.
Tu continues de me lécher quelques minutes, gentiment, le temps que je revienne à moi. Je te repousse, me redresse, et viens me coller contre toi, pour t’embrasser à pleine bouche, histoire de gouter à ma jouissance. Notre baiser profond s’éternise et ma main va caresser ta braguette. Ton sexe bandé semble vouloir transpercer ton pantalon. Heureusement que tu as un sous-vêtement ou tu serais obscène (hummmm).
Je mets fin à ce baiser, pose ma tête dans le creux de ton épaule.
« Viens…. Je n’ai pas apporté le pique nique pour rien ! Je m’occuperai de toi après….. si et seulement si….. tu es sage ….. très sage et…. obéissant »
« Je serai extrêmement sage et obéissant…. »
Je te vois sourire en me regardant. Tu sais que je vais user et abuser de ton corps pour ton plus grand plaisir (et le mien). Et que je sois d’humeur à tout décider est suffisamment rare pour que tu en profites au maximum.
« ça va ? tu n’es pas trop à l’étroit dans ton pantalon ?»
« si je le suis ! »
« J’espère bien ! Mais bon je voudrais vérifier et comme je trouve qu’il fait chaud dans ton bureau…. Pose donc ton pantalon, que je profite de ton superbe corps en boxer. Et puisque tu m’as promis d’être obéissant…. Pose-moi donc tout sauf ton boxer en me faisant un petit striptease…. ».
Je te regarde avec un grand sourire très coquin en te disant ça. Je m’assieds sur ton fauteuil et attends. Tu m’as l’air très embarrassé par ma demande. C’est vrai que c’est la première fois que je te demande ça. Tu commences à déboutonner ta chemise mais bon…. Tes gestes sont très empruntés.
« Arrête ce massacre ! Je croyais que tu avais promis d’être obéissant ! Imagine une musique et fais-moi un strip sensuel comme tu aimerais que je t’en fasse ! »
Je te vois relever la tête, me regarder et je lis dans tes yeux le moment où tu décides de te lâcher. Tu m’exécutes un déshabillage tout en langueur, tes yeux dans les miens. J’aime voir tes mains poser ta chemise. J’aime voir tes mains poser ton pantalon tes yeux dans les miens. J’aime voir tes mains te caresser sensuellement le torse, les épaules…. Ton spectacle m’excite et tu le vois…. Mon ventre se serre en te voyant te pincer le bout de tes seins. J’aimerais le faire à ta place mais j’attends de voir ce que tu vas faire après.
Une de tes mains descend en te caressant le ventre, descend, et frôle ton sexe bandé. Je le vois sans peine tressauter d’excitation sous ton boxer.
« Arrête tout de suite ! Je ne t’ai pas demandé de t’exciter, si ? Laisse la tranquille. Je m’en occuperai plus tard…. Peut-être. Mais comme ton strip n’était pas mal, je vais te donner un aperçu »
Je m’approche de toi, pose tes mains le long de tes cuisses. Je pose les miennes sur tes épaules, les descend le long de tes bras, remonte. Caresse ton torse en évitant tes seins. Caresse ton ventre, ta taille, remonte. Mes doigts se posent alors sur tes tétons et, te regardant dans les yeux, je les pince de concert entre mon pouce et mon index (ce qui te rappelle que j’ai des ongles….). Je t’entends gémir et je me sens mouiller. J’arrête, pose une main sur ton épaule, vers ta nuque et de l’autre je passe mes doigts sur ton membre… qui ne demande que ça.
« J’espère que ça ira comme aperçu car tu n’auras que ça ! Viens, allons manger maintenant »
Nous faisons les quelques pas jusqu’au canapé. Tu t’assieds à côté de moi. Je commence à déballer le contenu du panier et ce que j’en sors à l’air de te satisfaire. La dernière chose que je sors est…… un ruban de soie…. Rouge.
« Donne-moi tes mains ! »
Tu es effectivement très obéissant…. Tu me tends tes mains sans un mot. Je te les attache avec ce lien.
Je pose une serviette sur tes genoux et commence à nous nourrir, bouchée par bouchée, une pour toi puis une pour moi. Le foie gras est délicieux. Le saumon également. La tâche est plus dure pour les asperges. Un peu de sauce tombe sur ton torse alors que j’approchais le légume de ta bouche. Je te regarde et me baisse légèrement pour lécher ces quelques gouttes. Ta respiration semble bloquée…. Je continue à te nourrir d’asperge et à chaque goutte, je vais te lécher, à chaque goutte je t’entends respirer plus rapidement. Je fais maintenant exprès d’être maladroite.
Nous avons fini avec le « salé », passons au sucré.
Sur la table, des ramequins de fraises, et framboises et du chocolat ainsi que du sucre glace. Je commence par tremper une fraise dans le sucre, te regarde, et la pose sur mes lèvres. Je me caresse les lèvres avec puis je la présente à ta bouche qui la croque à moitié. Je mange l’autre moitié. Je reprends une fraise, la sucre et te la propose. La aussi tu n’en manges que la moitié. Je sors un de mes seins de mon corset et frotte le jus de la fraise sur le bout de mon sein tendu. Je te regarde, tu as l’air hypnotisé par ce fruit et mon sein. Je prends ta tête et la penche pour te faire lécher le jus de la fraise qui a coulé. Ta langue lèche avec application et je ne peux retenir un gémissement de plaisir.
Je relève ta tête, pose un baiser sur ta bouche et te repousse en arrière. Ta tête repose sur l’accoudoir (rembourré). Je me lève et pose tes jambes sur le canapé. Tu es maintenant couché. Je place tes mains liées au dessus de ta tête et je me fais une petite place sur le bord vers tes genoux. J’admire ton corps et mes mains qui s’y promènent, créant sur ta peau de légers frissons.
Je prends une fraise, mords dedans et la pose sur un de tes seins. Je le caresse avec le fruit rouge, laissant le jus faire des traces sur ta peau. Je fais la même chose avec l’autre puis descend le fruit sur ton ventre, jusqu’à l’élastique de ton boxer. Je me penche et lèche la trainée faite par le fruit en commençant par le bas. Ton ventre se soulève de façon rapide à chacun de mes coups de langue. Lorsque j’arrive à ton téton gauche, je le lèche et l’aspire entre mes lèvres. Je fais subir le même sort à l’autre et tes gémissements me prouvent que tu ne trouve pas ça désagréable.
J’aime les fraises mais les framboises également, voire même encore plus.
Je prends le ramequin que je pose sur ton estomac. Je dépose une framboise sur ton nombril puis une autre en remontant. Mais les mouvements de ton ventre les font tomber.
« Arrête de bouger… Comment veux-tu que mes framboises tiennent ? »
Euhhhh tout compte fait, je crois avoir trouvé. Je prends une framboise et la trempe très légèrement dans le chocolat. Pas trop car je trouve ça écœurant s’il y en a trop et de toute façon je préfère les framboises natures mais bon…. Il faut bien qu’elles tiennent ! J’arrive, avec le chocolat, à tracer une arabesque de framboises sur ton ventre ton torse. Tu es magnifique ainsi ! A croquer ! A croquer est le mot et je compte bien en profiter. Je me lève et me penche pour picorer une framboise. Une fois avalée, je me repenche et en reprend une entre mes lèvres pour venir la poser entre les tiennes, en un baiser parfumé…. Je continue ainsi, une chacun notre tour. De temps en temps nos langues s’emmêlent pour un baiser plus profond que j’agrémente de caresses plus ou moins appuyées sur ton sexe. A chaque fois, ton bassin se lève pour s’appuyer encore plus contre ma main. Chacun de tes mouvements (et pas que ça….) me prouvent que je t’excite et j’adore ça.
Les framboises terminées, il reste encore quelques traces de chocolat que je me dois de nettoyer langoureusement. Ma langue sur ta peau semble te faire de l’effet, d’autant plus qu’une de mes mains est en train de te baisser ton boxer. Ton sexe bandé au maximum ne me facilite pas la tâche. Tu lèves ton bassin et enfin, tu es à l’air libre… J’aime ton sexe, le regarder, le caresser,…….. Et justement j’ai envie de te caresser, de mettre ma main sur cette bite qui se tend vers moi.
Mes doigts, mes ongles, te frôlent seulement dans un premier temps. Je vois ton sexe bouger tout seul sous l’excitation. Je continue de plus belle, te pinçant un peu de mes ongles par moment, appuyant plus mes caresses à d’autres moments. Tes bourses sont pleines et dures elles aussi et mes caresses ne les épargnent pas.
« S’il te plait…. J’ai été sage…. je n’en peu plus… prends moi dans ta bouche…. »
Je te regarde en souriant
« C’est vrai que tu as été très sage et que tu mérites ta récompense…. » (et une petite voix au fond de moi, me rappelle que je n’en peux plus moi non plus et que j’ai une furieuse envie de toi….)
Je te regarde, prend une fraise que je te fais manger à moitié et….. caresse ton gland avec l’autre moitié. Je vois le jus qui coule le long de ton sexe…. Je me penche et lèche ta hampe en remontant. Arrivé au bout, je mets de multiples coups de langue et, enfin, mes lèvres se posent dessus. Elles s’entrouvrent et ton gland se retrouve dans la chaleur de ma bouche. Ma langue caresse ton frein en passant et repassant dessus. Je t’entends gémir. Je sens ton bassin se lever dans l’espoir que je fasse entrer ta bite plus à fond mais…. Non, pas pour l’instant. Je continue mes caresses sur ton gland, avec ma bouche entière, avec ma langue, avec mes lèvres, avec mes dents…. Puis…. Ma bouche sur ton gland descend pour te faire entrer en entier, ma main posée sur tes bourses. Ton cri de plaisir m’emplit de joie et d’excitation.
Je fais quelques allers-retours avec ma bouche, ma langue tournant autour de toi ou ma bouche t’aspirant….
Mais je vois bien que tu n’es pas très loin du point de non-retour et ce n’est pas là que je veux que tu jouisses. Je te veux en moi. J’ai envie de toi maintenant. Je me relève et t’enjambe. Je te regarde. Tu veux ramener tes mains vers moi pour que je te détache mais….. non. Tu ne jouiras qu’avec les sensations de ton sexe dans le mien.
Je me baisse et ton sexe s’appuie contre mon clito qui est lui aussi gonflé d’excitation. J’en gémis. Je fais glisser ton sexe une fois ou deux contre moi. Je sais que je suis trempée. Je me relève légèrement et fait coulisser ton sexe, lentement, très lentement en moi. Je veux profiter des sensations qu’il me procure, du plaisir qu’il me donne d’être ainsi emplie de toi.
Je me penche vers toi et pose mes mains de chaque côté de ta tête et appuie mon bassin contre le tien. Je te veux au fond de moi. Toi aussi car tu lèves ton bassin de ton côté. Mes mouvements au dessus de toi se font amples en profonds. Je me mords les lèvres de plaisir en gémissant. Tes propres gémissements m’excitent. En fait, nous sommes à bout tous les deux. Nos regards s’accrochent et mon ventre se serre. Je jouis en m’empalant sur toi, à fond comme nous aimons. Les crispations de mon ventre déclenchent ta jouissance également. Je t’offre un baiser léger puis un autre moins léger…..
« Merci mon ange »
Murmurais-je contre ton oreille avant de t’embrasser doucement dans le cou en te détachant…..
Elle avait décidé de lui faire une surprise en ce vendredi soir de la saint Valentin. Ils n’avaient rien de prévu de particulier et elle voulait lui faire plaisir. Aussi, depuis ce matin, elle avait astiqué la maison, fait les courses, préparé le repas avec soin. Une partie de l’après-midi avait été consacré à elle. Elle avait pris un long bain moussant, s’était épilée,… Elle avait mis une guêpière en dentelle. Une guêpière qui laissait ses seins libres. Elle pensait qu’il aimerait les avoir à sa disposition pour les pincer et les mordre selon son bon vouloir. Là, assise sur son lit, elle était en train de pester contre ses bas qui ne voulaient pas s’attacher comme elle le souhaitait après ses jarretelles. Une fois la couture n’était pas droite, une fois elle en avait filé un et là, la jarretelle. Elle n’était vraiment pas douée se disait-elle en souriant. Une fois ses bas enfin attachés, elle mit son string, ses sandales à talons et ses bijoux.
La table était dressée, le repas était soit dans le réfrigérateur soit en train de mijoter, elle se regarda rapidement dans le miroir puis alla l’attendre dans le salon. Au bruit de la voiture se garant devant la maison, elle se mit rapidement sur ses pieds et se place juste devant la porte.
Lorsqu’il entre, qu’il voit sa tenue, il lui sourit, pose ses clés et s’approche d’elle, près, très près. Il se penche sur sa bouche pour l’embrasser profondément alors que ses mains se posent sur ses seins. Alors que sa langue tourne, ses doigts pincent très fort la pointe de ses seins, attendant ses cris qui seront étouffés par sa bouche, attendant que son corps se tende. Il les desserre dès qu’il la sent répondre comme il le souhaite et caresse ses seins maintenant avec tendresse. Il la regarde en souriant.
« Très bon accueil, j’apprécie »
« Merci. Je te sers ton whisky dans le salon… »
« D’accord »
Elle va à la cuisine, remue sa purée de carottes, arrose ses tomates dans le four vérifie que le poisson n’est pas trop cuit et alors qu’elle se penche pour prendre la bouteille, elle le sens derrière elle. Elle le sent douloureusement du reste, puisqu’il vient de lui mettre une grande claque sur la fesse droite la faisant se relever rapidement.
« Repenche toi immédiatement, j’aime la vue ! Et comme ça, tu auras chaud au moins ici »
N’hésitant qu’une seconde, elle se repenche.
Elle sent ses mains lui caressant les hanches, passant sous elle pour pincer la pointe de ses seins la faisant gémir, puis…. Des claques sur chacune de ses fesses, suivies par des caresses. Elle a chaud effectivement maintenant. Elles doivent être rouges pense-t-elle en souriant. Il faut dire qu’elle aime ce traitement. Au début, elle en avait un peu honte, voire beaucoup. Maintenant, elle aimait. Et il le savait parfaitement.
Ses pensées reviennent rapidement à ses fesses lorsqu’elle le sent les écarter, pousser la ficelle du string sur le côté et caresser son anus, d’un doigt qu’elle pense lubrifié vu l’aisance avec laquelle il la pénètre.
« Cambre-toi »
Un deuxième doigt puis un troisième. Elle est un peu gênée comme toujours avec cette caresse même si elle sait pertinemment qu’elle apprécie au fond d’elle.
Les doigts la quittent, vite remplacés par ce qu’elle reconnait être son plug. Enfoncé comme il faut, son Maître la relève, lui claque la fesse gauche en la regardant dans les yeux, puis l’embrasse, lui mordant légèrement la lèvre inférieure.
« Il me semble que j’attend mon apéritif depuis un moment… »
Elle le regarde en souriant…
« J’arrive, va t’installer »
Elle termine de préparer le plateau d’apéritif et l’apporte dans le salon.
A chaque pas, chaque mouvement, elle sent ce qu’elle porte au creux de ses reins et elle aime cette sensation. Elle pose le plateau sur la petite table en se penchant légèrement. Il en profite pour venir faire bouger ce plug d’une main, de l’autre allant vers sa chatte, enfonçant deux doigts…. Plus que facilement.
« Eh bien…. C’est la fessée ou le plug ? »
« Euhhh… les deux je pense… »
« Penche-toi un peu vers moi en me regardant »
Elle s’exécute et le voit, souriant comme toujours, lui montrant entre ses doigts deux pinces métalliques.
« Alors tu vas aimer ça » lui dit-il en les accrochant à ses seins.
Elle gémit un peu mais les mains de son Maître sur ses seins… elle adore.
« Assied-toi »
Elle s’assoie en face de lui, le regarde d’un air un peu moins bravache que tout à l’heure.
« Bouge sur le siège, histoire que le plug se rappelle à toi »
Il la regarde. Il aime la regarder tout autant qu’elle aime le regarder lui semble t-il. Un savant mélange de soumission et de tendresse qu’ils apprécient l’un et l’autre. Et là, la voir bouger comme il le lui a demandé, les pinces enserrant les pointes de ses seins, ses reins pris, il adore.
L’apéritif se passe, les pinces sont retirées au bout de quelques minutes car il n’a pas pour objectif de la faire souffrir plus qu’elle ne pourrait supporter. Mais en échange…
« Viens t’assoir vers moi »
Elle obéit. A peine assise, elle sent sa bouche se poser sur un sein pour l’embrasser puis, elle sent ses dents qui serrent, serrent. Là aussi, il arrête lorsqu’il sent sa réaction, lorsqu’il entend son cri. Il fait de même avec l’autre.
Elle adore qu’il s’occupe ainsi de ses seins. Même si ça fait mal. Le plaisir qu’elle a avec ses caresses juste après, compense largement. Elle aime vraiment les deux.
« Nous passons à table ? »
« Bien sur… vas-y, j’arrive avec l’entrée »
Elle va chercher les deux assiettes d’entrée, pose la première devant son Maître.
« Ecarte les jambes…. Encore plus »
« Tu es trempée dis moi… tant mieux… ça rentrera tout seul ! »
Elle se demande de quoi il parle, lorsqu’elle sent une sorte de boule entrer en elle. Son œuf ! Il n’a pas mis longtemps pour récupérer tout le matériel tout à l’heure se dit-elle….
Il l’enfonce bien, ce qui n’est pas chose aisée puisque le plug occupe un peu de place mais, il y parvient sans trop de problème.
« C’est bon, vient t’assoir maintenant »
Elle pose l’assiette qu’elle tenait toujours, devant elle et s’assied.
Alors qu’elle commençait à discuter, se décontractant un peu, elle sursaute. Elle sent les vibrations de l’œuf s’enclencher, vibrations propageant jusqu’au plug, augmentant encore les sensations.
Décidemment, ce repas ne se déroule pas tout à fait comme elle l’avait imaginé mais…. Elle l’apprécie d’autant plus. Et la soirée n’est pas finie, se dit-elle, bougeant les reins de plaisir….
Marques du jour, marques des jours suivants, marques huit jours après....
Je ne sais jamais ce que les marques de mon Maître donneront. Quelque part, c'est une surprise tous les jours pendant une certaine période... sourire. Des marques très prononcées le jour de la rencontre peuvent ne durer que très peu de temps alors que des marques bien plus légères peuvent se révéler ou s'amplifier quelques jours après. Sans parler de la lumière lorsque je prends les photos, qui peut faire varier l'effet.
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Selon l'éclairage, le rendu n'est vraiment pas le même. La photo de gauche atténue un peu alors que la droite me donne l'effet contraire. | ||
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J'aime bien ces traits parallèles pas trop proches du tétons. | |
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J'aime toujours autant les marques de cuillère sur mes fesses. Je les aime car ce sont ses marques évidemment mais aussi car elles me font rire. Les marques de baguettes, sur les côtés, sont relativement peu visibles ici, sur la photo mais je vous assure que je les voyais bien en réel... sourire. |
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Haut du bras droit et du bras gauche. Le droit était vraiment très sensible le soir mais la marque était relativement discrète. |
Mais... si discrètes elles étaient... discrètes elles ne sont pas restées !
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Les marques de mes seins sont plus sombres. Les marques de mes bras sont devenues très visibles. Heureusement, la météo était de mon côté jusque là et je pouvais porter un pull au travail. |
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De plus près, avec un autre éclairage...
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Les marques de baguette sont devenues quasiment invisbles mais il reste encore les marques de cuillère... sourire. |
Huit jours après....
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Un matin... huit jours après notre rencontre, j'ai vu ça... et j'admets volontiers que j'ai eu un peu peur. Les traits, les ronds... j'aime beaucoup, ça me faire rire et ça me fait penser à un jeu. Des marques commes celles-ci, j'ai plus de mal à les admettre. Je les aime car ce sont ses marques mais elles me font beaucoup plus penser à des coups (pas dans le cadre d'un jeu). Ceci dit... je ne regrette absolument de les avoir ! sourire. Même si... elles m'ont obligé à porter un gilet manches longues au travail alors qu'il a fait 30 ° au soleil. Sourire....
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A bientôt....
Mes rencontres avec mon Maîtres sont différentes les unes des autres. Je sais rarement à quoi m'attendre dans le détail, même si, certaines fois, j'ai des pistes plus ou moins précises, des remarques piquantes sur ce qu'il pense me faire... sourire.
La dernière fois a été marquée par de l'exhib sur un site qu'il m'a fait connaître il y a un moment maintenant. Mais niveau marques, je n'ai pas été épargnée non plus, pour mon plus grand plaisir (et le sien... sourire).
Des marques bien visibles sur mes fesses...
Et des marques sur mes seins qui gardent aussi la trace des élastiques.. sourire...
Quant à celle-là.... c'est juste pour lui.... sourire
Bisous.
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