textes érotiques

Mardi 29 octobre 2 29 /10 /Oct 09:29

Un texte que j'avais oublié et que je viens de retrouver. il date de plus de cinq ans...... surprenant !

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Il est 18 h 30. Hier, tu m'as prévenu que tu allais rentrer tard de ton bureau ce soir. Lorsque je t'ai proposé de venir te chercher pour manger, tu as été d'accord, sans trop hésiter à ma surprise du reste.


Depuis 1 h 30, je me pouponne pour toi.


J'ai pris une douche, chaude comme je les aime. J'ai aimé sentir l'eau couler sur ma peau, mes mains savonneuses passant sur mon corps. Mon gel douche parfumait l'air ambiant et je me suis laissée aller à rêvasser comme souvent, imaginant ta présence à mes côtés, sous l'eau.


Je me suis séchée soigneusement. Je me suis mis une crème parfumée pour la peau (Angel).


Je me suis maquillée.


 

Dans la chambre, je regarde ce que je me suis préparée pour ma visite... de beaux bas noirs (jarretière en dentelle et couture derrière la jambe), un petit porte-jarretelles, un corset qui j'espère te plaira, une jupe noire et longue et des chaussures, noires elles aussi.


Je m'habille, à la fois excitée de la surprise que je te réserve et anxieuse car c'est bien la première fois que j'ose faire une telle chose.


Une fois prête je vais à la cuisine prendre le panier en osier que j'ai préparé un peu plus tôt. J'y ai mis, outre des assiettes, des verres, des couverts et des serviettes (on ne sait jamais, des fois que l'on veuille manger proprement...), une bouteille de vin blanc, du foie gras, des toasts, des tranches de saumon dans de la gelée que j'ai fait moi-même, des petites asperges, et..... du chocolat quasi liquide d'une marque que je ne citerai pas, du sucre, des fraises, des framboises qui sentent délicieusement bon (hummm). Tout est ultra frais et j'espère que ma surprise te plaira, tant au niveau de ma tenue que du pique-nique que j'ai prévu dans ton bureau. Sur une dernière inspiration, j’y ajoute une surprise…. Rouge.


18 h 45. Le panier est à côté de moi sur le siège passager, attaché pour ne pas qu'il tombe. Il ne manquerait plus que ça !


19 h 15. Je suis en bas de tes bureaux. Seul le gardien de nuit est là. Mon manteau long cache ma tenue mais il voit bien mon panier. Nous discutons quelques minutes sur les diners en amoureux, il se rappelle et me raconte brièvement une de ses frasques avec sa chère et tendre... mais je m'impatiente un peu et il le sent... rire. Il m'indique en souriant que tu es seul à l'étage, que tes collègues sont tous partis.... à bon entendeur.... Un dernier sourire en direction de mon complice malgré lui et je pénètre dans l'ascenseur.


Les petites lumières s'égrènent et.... la porte s'ouvre sur le couloir. Je suis déjà venue en journée et j'arrive sans peine à me repérer. Je frappe doucement. A ton signal, j'entre, fais un pas dans le bureau. Sans me retourner, sans quitter ton regard, en te souriant, ma main libre va dans mon dos et referme à clé.


« Dois-je déduire de ton panier que nous ne sortons pas ? »


« Bonne déduction Sherlock. Tu m'en veux ? »


« Bien sûr que non. Nous allons étrenner le canapé et la table basse qui m'ont été livré en début de semaine. Pose ton manteau il fait chaud ici »


« Je vais d'abord poser le panier... »


Je le pose sur la table basse (pas mal du reste !) qui se trouve à ta droite. Je sens ton regard qui me suit. Une fois débarrassée de ce panier, je me retourne vers toi, et, en te regardant, je détache les boutons un à un, lentement. A tes yeux, je vois que tu te doutes que je ne suis pas habillée comme d'habitude. Tous les boutons détachés, je pose mon manteau sur un fauteuil à côté du canapé. J'ai l'impression que tu apprécies.... le « whaouu » que tu viens d'émettre ne me laisse que peu de doute... Je suis contente. Mais ce n'est pas fini. Nous nous regardons toujours et mes mains viennent prendre la fermeture de ma jupe. Un crissement t'indique qu'elle est ouverte.... comme ta bouche. Je fais doucement descendre mon vêtement le long de mes jambes et l'enjambe pour m'approcher de toi. Le spectacle ne t'a pas laissé indifférent : tu as ta main à ton entre jambe et tu regarde mon corset, mes bas, mon string (mini) qui te prive un peu de la vision de mon minou.


Je m'approche, passe entre toi et ton bureau et pose mes fesses sur ton bureau devant toi. Tu me fais m'écarter légèrement et tu me descends mon string. Je me rassois sur ton bureau, te regarde dans les yeux et écartes lentement les jambes.

 

Mes mains passent sur mes cuisses et remontent. Caressent ma taille, suivent les baleines du corset pour venir vers mes seins. Le corset est ajusté mais je peux sortir la pointe de mes seins et je les caresses doucement. Mes doigts tournent autour des pointes qui commencent de gonfler d'excitation de te voir, bouche bée ainsi sur ton siège, en me voyant faire depuis tout à l'heure. Mes jambes sont maintenant largement écartées et sont de part et d'autre des tiennes.


Je vois tes yeux aller de mes seins à ma chatte. Je vois tes yeux sur mon corset. Je vois ta main s'approcher de moi. Je la prends et la repose sur ton accoudoir. Tu comprends et t'installe au fond de ton siège sans rien dire. Seul un sourire m'indique que tu aimes ce nouveau jeu. Un sourire et la bosse que fait ton sexe dans ton pantalon.


J'ai une main sur mon sein gauche, je le caresse, pince la pointe et recommence. J'aime.

 

Je te regarde et baisse ma main droite vers mon ventre que je frôle. Elle descend encore et caresse mon pubis. Mes doigts suivent la ligne de mes lèvres plusieurs fois. J'appuie un peu et ils les écartent. Un doigt atteint mon clito ce qui me fait gémir. Tes yeux sur moi.... j'aime à ce moment. Ils me prouvent que je peux t'exciter. Ton gémissement à la suite du mien m'excite également. Mon bassin a tendance à se tendre vers toi mais tu restes sage. Je continue et me caresse maintenant réellement. Mes doigts passent et repassent sur mon clito, tournent autour, passent dessus. Mes gémissements sont de plus en plus forts. Je bouge en cadence.


Ma main gauche a pris maintenant mon sein et le serre un peu, pince le bout, caresse.....


Mes doigts ont abandonné temporairement mon clito pour aller visiter mon sexe. Je te fixe et m'enfonce trèèèèèès lentement un doigt en moi.


Si moi je te fixe, toi tu fixes mes doigts sur mon sexe. Tu fixes et tu gémis mais tu restes immobile malgré la bosse que je vois sans problème et qui doit quelque peu te gêner. Un deuxième doigt est venu en renfort du premier, puis un troisième. C'est bon et je ne m'en cache pas. Tu le vois à mes yeux, à mon liquide intime qui s'écoule de moi, tu l'entends à mes gémissements de plus en plus rapprochés.


 

Ma main qui était sur mon sein descend et mes doigts viennent exciter mon bouton pendant que je continue à entrer et sortir mes doigts de moi. Tu as l'air d'avoir un peu de mal à trouver ta respiration. Moi aussi. Je sens que je ne suis plus très loin de la jouissance. Tu dois le deviner car tu passes de mes yeux à mon sexe. Tu ne dis mot et pourtant j'ai l'impression d'entendre tes encouragements. Je te regarde et me laisse envahir par le plaisir......


Quelques instants se passent, le temps que je retrouve mes esprits. Je te regarde, tu n'as pas bougé, ton regard me fixe.


« ça va ? Tu te remets ? »


« hummm oui..... mais.... qu'attends-tu pour me nettoyer de ta langue ? Je ne vais pas tacher ton canapé neuf quand même !»


Tu t'approches, poses tes mains sur mes cuisses ouvertes. Elles se déplacent pour les caresser, suivre les jarretelles, caresser mon corset, remonter vers mes seins. Je te laisse faire..... Mais pas trop longtemps....


Ma main se pose sur ta tête et la pousse en avant, vers ma chatte luisante de ma jouissance. Je sens tes lèvres déposer un baiser sur mon pubis, sur mes lèvres.... Je sens ta langue s’immiscer entre mes lèvres, remonter, lécher, lécher encore, avec application, faisant remonter une douce chaleur en moi. Je sens ta langue se poser sur mon clito, tourner autour de la pointe. Je la sens se faire plate pour appuyer dessus. Je sens ta bouche vouloir l’aspirer. Je sens mon bassin s’appuyer encore plus contre ta tête que je tiens toujours contre moi. Je sens mon excitation monter et monter encore. J’hésites… j’ai très envie de jouir encore, et jouir dans ta bouche est un véritable plaisir. Ou t’arrêter là.


J’ai choisi…. Je veux profiter de ta bouche ! A peine mon cerveau a-t-il pris cette décision, que je sens les sommets du plaisir se rapprocher. Mon bassin bouge de plus en plus, ma main te presse de plus en plus contre ma chatte. Tu sembles comprendre mon état car ta langue s’agite sur mon clito. Je sens une de tes mains qui était posée sur ma hanche se déplacer et tes doigts (je ne sais combien) entrer en moi. Le fait de sentir ta langue sur mon clito et tes doigts me remplir ainsi, déclenche une jouissance qui me fait pousser des cris que je n’arrive pas à garder en moi comme je le fais d’ordinaire.

 

Tu continues de me lécher quelques minutes, gentiment, le temps que je revienne à moi. Je te repousse, me redresse, et viens me coller contre toi, pour t’embrasser à pleine bouche, histoire de gouter à ma jouissance. Notre baiser profond s’éternise et ma main va caresser ta braguette. Ton sexe bandé semble vouloir transpercer ton pantalon. Heureusement que tu as un sous-vêtement ou tu serais obscène (hummmm).


Je mets fin à ce baiser, pose ma tête dans le creux de ton épaule.


« Viens…. Je n’ai pas apporté le pique nique pour rien ! Je m’occuperai de toi après….. si et seulement si….. tu es sage ….. très sage et…. obéissant »


« Je serai extrêmement sage et obéissant…. »


Je te vois sourire en me regardant. Tu sais que je vais user et abuser de ton corps pour ton plus grand plaisir (et le mien). Et que je sois d’humeur à tout décider est suffisamment rare pour que tu en profites au maximum.


« ça va ? tu n’es pas trop à l’étroit dans ton pantalon ?»


« si je le suis ! »


« J’espère bien ! Mais bon je voudrais vérifier et comme je trouve qu’il fait chaud dans ton bureau…. Pose donc ton pantalon, que je profite de ton superbe corps en boxer. Et puisque tu m’as promis d’être obéissant…. Pose-moi donc tout sauf ton boxer en me faisant un petit striptease…. ».


Je te regarde avec un grand sourire très coquin en te disant ça. Je m’assieds sur ton fauteuil et attends. Tu m’as l’air très embarrassé par ma demande. C’est vrai que c’est la première fois que je te demande ça. Tu commences à déboutonner ta chemise mais bon…. Tes gestes sont très empruntés.


« Arrête ce massacre ! Je croyais que tu avais promis d’être obéissant ! Imagine une musique et fais-moi un strip sensuel comme tu aimerais que je t’en fasse ! »


Je te vois relever la tête, me regarder et je lis dans tes yeux le moment où tu décides de te lâcher. Tu m’exécutes un déshabillage tout en langueur, tes yeux dans les miens. J’aime voir tes mains poser ta chemise. J’aime voir tes mains poser ton pantalon tes yeux dans les miens. J’aime voir tes mains te caresser sensuellement le torse, les épaules…. Ton spectacle m’excite et tu le vois…. Mon ventre se serre en te voyant te pincer le bout de tes seins. J’aimerais le faire à ta place mais j’attends de voir ce que tu vas faire après.


Une de tes mains descend en te caressant le ventre, descend, et frôle ton sexe bandé. Je le vois sans peine tressauter d’excitation sous ton boxer.


« Arrête tout de suite ! Je ne t’ai pas demandé de t’exciter, si ? Laisse la tranquille. Je m’en occuperai plus tard…. Peut-être. Mais comme ton strip n’était pas mal, je vais te donner un aperçu »


Je m’approche de toi, pose tes mains le long de tes cuisses. Je pose les miennes sur tes épaules, les descend le long de tes bras, remonte. Caresse ton torse en évitant tes seins. Caresse ton ventre, ta taille, remonte. Mes doigts se posent alors sur tes tétons et, te regardant dans les yeux, je les pince de concert entre mon pouce et mon index (ce qui te rappelle que j’ai des ongles….). Je t’entends gémir et je me sens mouiller. J’arrête, pose une main sur ton épaule, vers ta nuque et de l’autre je passe mes doigts sur ton membre… qui ne demande que ça.


« J’espère que ça ira comme aperçu car tu n’auras que ça ! Viens, allons manger maintenant »


Nous faisons les quelques pas jusqu’au canapé. Tu t’assieds à côté de moi. Je commence à déballer le contenu du panier et ce que j’en sors à l’air de te satisfaire. La dernière chose que je sors est…… un ruban de soie…. Rouge.


« Donne-moi tes mains ! »


Tu es effectivement très obéissant…. Tu me tends tes mains sans un mot. Je te les attache avec ce lien.


Je pose une serviette sur tes genoux et commence à nous nourrir, bouchée par bouchée, une pour toi puis une pour moi. Le foie gras est délicieux. Le saumon également. La tâche est plus dure pour les asperges. Un peu de sauce tombe sur ton torse alors que j’approchais le légume de ta bouche. Je te regarde et me baisse légèrement pour lécher ces quelques gouttes. Ta respiration semble bloquée…. Je continue à te nourrir d’asperge et à chaque goutte, je vais te lécher, à chaque goutte je t’entends respirer plus rapidement. Je fais maintenant exprès d’être maladroite.


Nous avons fini avec le « salé », passons au sucré.


Sur la table, des ramequins de fraises, et framboises et du chocolat ainsi que du sucre glace. Je commence par tremper une fraise dans le sucre, te regarde, et la pose sur mes lèvres. Je me caresse les lèvres avec puis je la présente à ta bouche qui la croque à moitié. Je mange l’autre moitié. Je reprends une fraise, la sucre et te la propose. La aussi tu n’en manges que la moitié. Je sors un de mes seins de mon corset et frotte le jus de la fraise sur le bout de mon sein tendu. Je te regarde, tu as l’air hypnotisé par ce fruit et mon sein. Je prends ta tête et la penche pour te faire lécher le jus de la fraise qui a coulé. Ta langue lèche avec application et je ne peux retenir un gémissement de plaisir.


Je relève ta tête, pose un baiser sur ta bouche et te repousse en arrière. Ta tête repose sur l’accoudoir (rembourré). Je me lève et pose tes jambes sur le canapé. Tu es maintenant couché. Je place tes mains liées au dessus de ta tête et je me fais une petite place sur le bord vers tes genoux. J’admire ton corps et mes mains qui s’y promènent, créant sur ta peau de légers frissons.


Je prends une fraise, mords dedans et la pose sur un de tes seins. Je le caresse avec le fruit rouge, laissant le jus faire des traces sur ta peau. Je fais la même chose avec l’autre puis descend le fruit sur ton ventre, jusqu’à l’élastique de ton boxer. Je me penche et lèche la trainée faite par le fruit en commençant par le bas. Ton ventre se soulève de façon rapide à chacun de mes coups de langue. Lorsque j’arrive à ton téton gauche, je le lèche et l’aspire entre mes lèvres. Je fais subir le même sort à l’autre et tes gémissements me prouvent que tu ne trouve pas ça désagréable.


J’aime les fraises mais les framboises également, voire même encore plus.

 

Je prends le ramequin que je pose sur ton estomac. Je dépose une framboise sur ton nombril puis une autre en remontant. Mais les mouvements de ton ventre les font tomber.


« Arrête de bouger… Comment veux-tu que mes framboises tiennent ? »


Euhhhh tout compte fait, je crois avoir trouvé. Je prends une framboise et la trempe très légèrement dans le chocolat. Pas trop car je trouve ça écœurant s’il y en a trop et de toute façon je préfère les framboises natures mais bon…. Il faut bien qu’elles tiennent ! J’arrive, avec le chocolat, à tracer une arabesque de framboises sur ton ventre ton torse. Tu es magnifique ainsi ! A croquer ! A croquer est le mot et je compte bien en profiter. Je me lève et me penche pour picorer une framboise. Une fois avalée, je me repenche et en reprend une entre mes lèvres pour venir la poser entre les tiennes, en un baiser parfumé…. Je continue ainsi, une chacun notre tour. De temps en temps nos langues s’emmêlent pour un baiser plus profond que j’agrémente de caresses plus ou moins appuyées sur ton sexe. A chaque fois, ton bassin se lève pour s’appuyer encore plus contre ma main. Chacun de tes mouvements (et pas que ça….) me prouvent que je t’excite et j’adore ça.


Les framboises terminées, il reste encore quelques traces de chocolat que je me dois de nettoyer langoureusement. Ma langue sur ta peau semble te faire de l’effet, d’autant plus qu’une de mes mains est en train de te baisser ton boxer. Ton sexe bandé au maximum ne me facilite pas la tâche. Tu lèves ton bassin et enfin, tu es à l’air libre… J’aime ton sexe, le regarder, le caresser,…….. Et justement j’ai envie de te caresser, de mettre ma main sur cette bite qui se tend vers moi.


Mes doigts, mes ongles, te frôlent seulement dans un premier temps. Je vois ton sexe bouger tout seul sous l’excitation. Je continue de plus belle, te pinçant un peu de mes ongles par moment, appuyant plus mes caresses à d’autres moments. Tes bourses sont pleines et dures elles aussi et mes caresses ne les épargnent pas.


« S’il te plait…. J’ai été sage…. je n’en peu plus… prends moi dans ta bouche…. »


Je te regarde en souriant


« C’est vrai que tu as été très sage et que tu mérites ta récompense…. » (et une petite voix au fond de moi, me rappelle que je n’en peux plus moi non plus et que j’ai une furieuse envie de toi….)


Je te regarde, prend une fraise que je te fais manger à moitié et….. caresse ton gland avec l’autre moitié. Je vois le jus qui coule le long de ton sexe…. Je me penche et lèche ta hampe en remontant. Arrivé au bout, je mets de multiples coups de langue et, enfin, mes lèvres se posent dessus. Elles s’entrouvrent et ton gland se retrouve dans la chaleur de ma bouche. Ma langue caresse ton frein en passant et repassant dessus. Je t’entends gémir. Je sens ton bassin se lever dans l’espoir que je fasse entrer ta bite plus à fond mais…. Non, pas pour l’instant. Je continue mes caresses sur ton gland, avec ma bouche entière, avec ma langue, avec mes lèvres, avec mes dents…. Puis…. Ma bouche sur ton gland descend pour te faire entrer en entier, ma main posée sur tes bourses. Ton cri de plaisir m’emplit de joie et d’excitation.


Je fais quelques allers-retours avec ma bouche, ma langue tournant autour de toi ou ma bouche t’aspirant….


Mais je vois bien que tu n’es pas très loin du point de non-retour et ce n’est pas là que je veux que tu jouisses. Je te veux en moi. J’ai envie de toi maintenant. Je me relève et t’enjambe. Je te regarde. Tu veux ramener tes mains vers moi pour que je te détache mais….. non. Tu ne jouiras qu’avec les sensations de ton sexe dans le mien.


Je me baisse et ton sexe s’appuie contre mon clito qui est lui aussi gonflé d’excitation. J’en gémis. Je fais glisser ton sexe une fois ou deux contre moi. Je sais que je suis trempée. Je me relève légèrement et fait coulisser ton sexe, lentement, très lentement en moi. Je veux profiter des sensations qu’il me procure, du plaisir qu’il me donne d’être ainsi emplie de toi.


Je me penche vers toi et pose mes mains de chaque côté de ta tête et appuie mon bassin contre le tien. Je te veux au fond de moi. Toi aussi car tu lèves ton bassin de ton côté. Mes mouvements au dessus de toi se font amples en profonds. Je me mords les lèvres de plaisir en gémissant. Tes propres gémissements m’excitent. En fait, nous sommes à bout tous les deux. Nos regards s’accrochent et mon ventre se serre. Je jouis en m’empalant sur toi, à fond comme nous aimons. Les crispations de mon ventre déclenchent ta jouissance également. Je t’offre un baiser léger puis un autre moins léger…..


« Merci mon ange »


 

Murmurais-je contre ton oreille avant de t’embrasser doucement dans le cou en te détachant….. 

Par valsou - Publié dans : textes érotiques
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Vendredi 24 juin 5 24 /06 /Juin 16:58

Sourire... C'est un texte d'actualité, non ???


Ce texte a toute une histoire. Un jour, il y a longtemps, mon interlocuteur allait partir en réunion et nous n'allions pas pouvoir continuer de discuter sur msn. Je n'avais rien à faire et je lui ai demandé de me donner un sujet pour que je m'occupe en lui écrivant un texte. Il m'a dit "un grand magasin et une vendeuse". J'en étais encore à mes tous débuts dans l'écriture et si le thème "grand magasin" ne me posait pas de problème, le "vendeuse" m'en posait beaucoup plus : je n'avais jamais mis de femme encore, dans mes récits érotiques. 


Voici ce que j'ai fait de ce challenge :

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Les soldes


Nos rendez-vous sont toujours des rendez-vous plein d’amour, de tendresse, de surprise. Nos conversations, nos rires, nos promenades n’appartiennent qu’à nous. Ce jour là, nous avons décidé de profiter de la fin des soldes pour aller faire un tour dans les magasins. Par forcément pour acheter, mais pour, essentiellement, le plaisir de flâner tous les deux.


Le temps est ensoleillé, il fait doux. Main dans la main, nous marchons lentement dans la rue piétonne, regardant les vitrines. 


Une boutique de souvenir m’attire… beaucoup de petites fées en vitrine mais aucune qui fait « tilt » en moi. Une bijouterie…. J’admire (je ne suis pas une femme pour rien… rire). Une maroquinerie… ah.. Les sacs à main… une grande histoire d’amour entre eux et moi. Mais rien dans mon budget qui ne me plaise. Tient une armurerie… tu t’arrêtes (évidemment… rire). Tu me la commentes… Tes yeux brillent. Nous repartons. Un grand magasin de vêtements, tu te rappelles que je t’avais parlé de m’acheter une jupe et bien qu’il soit bientôt midi, tu me pousses vers l’entrée pour que nous allions voir. 


Nous nous dirigeons vers le rayon « femme » du deuxième étage. Je regarde, en passant, les « hauts ». Il y en a un qui m’attire particulièrement. Je le prends pour l’essayer puis deux jupes à essayer également. Pendant ce temps là, tu t’es arrêté dans le rayon des sous-vêtements. Tu me montres deux ensembles. « Tu ne veux pas les essayer ? J’ai envie de voir ce que ça donne sur toi ». Je ne vais pas te refuser ça. 


Nous recherchons les cabines d’essayages. 


A cette heure, même si le magasin est ouvert entre midi et deux, nous sommes les seuls clients. Une vendeuse, nous voyant hésiter, vient vers nous. C’est une belle jeune femme. Et c’est une femme comme je les aime… elle ne donne pas l’impression d’avoir pris son dernier repas il y a quinze jours ! Brune, cheveux longs qui encadrent un joli visage, des yeux marron en amande. Maquillée avec soin. Ses chevilles fines sont dans des chaussures à talon et pourtant elle est légèrement plus petite que moi. Sa jupe, s’arrêtant aux genoux, flotte autour d’elle. Son petit haut, un t-shirt qui se croise et s’attache sur le côté, peine à contenir une poitrine que l’on peut deviner sans peine très opulente. Je commence à connaître tes goûts et glisse un regard curieux sur toi. Je ne me suis pas trompée. Tes yeux sont fixés sur cette poitrine qui semble vouloir sortir de son emballage. Tu lui souris, de ton sourire craquant… Elle semble troublée : elle a compris la direction de ton regard. Je souris doucement…. Tu es incorrigible.

 « Vous cherchez quelque chose ? »

« Nous sommes à la recherche des cabines ».

« C’est dans le fond à droite, après les pantalons hommes. »

« Merci »

Les cabines sont effectivement là. Il y en a quatre, larges, avec des portes. J’y rentre avec mon panier et alors que j’allais refermer la porte, je te vois venir avec moi.

 

« Eh…tu ne vas pas rentrer avec moi non ? »

« Ben si pourquoi ? »

« Qu’est-ce qu’elle va dire la vendeuse ? »

« Rien, à part que j’aime te regarder »

 

Ton regard, ton regard qui me fait fondre… Je ferme la porte derrière toi.

 

Il y a très largement de la place pour deux. Je pose mon panier sur la chaise qui est là et te regarde. Tu t’es mis dans l’angle opposé, adossé au mur, ton regard fixé tendrement sur moi. Tu as fait de moi une coquine… une coquine tu verras…

 

Mes yeux sont dans tes yeux. Tout en te regardant, j’accroche mon manteau à la patère.

Mes mains, lentement, relèvent mon pull, le font passer au dessus de ma tête. Mes mains descendent ensuite vers ma jupe… Le bouton est détaché…. La fermeture éclair descendue, lentement. Lentement aussi, ma jupe descend le long de mes jambes, laissant apparaître….  mes bas noirs et mon minou libre de toute entrave. Tes yeux ont vus ce « détail ».

 

« Dis donc coquine, quand est-ce que tu comptais m’avouer ça ? »

« Euh… au restaurant ce midi, mon cœur. Ça te pose un problème ? » Je te regarde en souriant.

« Non, absolument pas, mais je vais avoir du mal à sortir de la cabine maintenant »

Mon regard descend le long de ton corps…. Il s’arrête en voyant ton sexe former une bosse impressionnante. Mon sourire s’agrandit…

« Ah…oui… il faudrait te calmer avant ».

 

Mon côté « coquin » a réellement augmenté depuis nos échanges et j’aime savoir que je t’excite. Mes mains passent dans mon dos, détachent mon soutien gorge. Mes mains le retiennent malgré tout. Je fais passer une bretelle par-dessus mon épaule…. L’autre bretelle…. Je te regarde : tes yeux sont fixés sur ma poitrine. Lentement, doucement, j’enlève ce morceau de tissus qui cache mes seins. Je me redresse fièrement et laisse ton regard me parcourir.

 

« Tu veux que j’essaie lequel en premier mon ange ? »

« Pour l’instant aucun mais tu pourrais peut-être essayer de me calmer…. »

« Ici ? Ça va pas la tête ? »

« Ça ne craint rien. Il n’y a personne et la porte est fermée. Aller…. »

Ton regard… ton sourire…je craque…

 

Je m’approche de toi, pose mes mains sur tes épaules, mon visage dans ton cou. Je te respire, je t’embrasse tendrement dans le cou. Mes lèvres se déplacent vers les tiennes, mes mains glissent le long de ton corps. Elles ont trouvé ce qu’elles cherchaient. Ton bouton, ta braguette…. Ton sexe sorti, se dresse. Je le regarde, te regarde. Ma main le caresse doucement, le frôle, amoureusement… il tressaute… quelques petites minutes de ce traitement et je vois une goutte pointer sur le bout de ton gland : il aime sans doute…

Ton regard, excité, dans le mien…. Tes mains sur mes épaules, se crispent… Elles appuient légèrement, pour me faire comprendre…..

 

Un bisou sur tes lèvres… je descends à genoux devant toi.

Je regarde ton sexe, emprisonné au creux de ma main. Je m’approche lentement. Je sens ton regard sur moi. Ma langue vient laper les gouttes qui luisent sur le bout. J’aime ton goût. Ma langue n’en reste pas là… elle s’entoure autour, le lèche, le savoure… ma bouche s’ouvre et tu t’enfonce en elle. Ta main se resserre sur mon épaule que tu n’avais pas lâchée. Tu aimes. J’aime. Nous aimons…. Mais, apparemment,  tu ne veux pas jouir dans ma bouche car après quelques minutes de ce traitement, tu me fais me redresser, face à toi. Tu places ma jambe droite sur la chaise et, d’un seul coup, vient en moi.

 

« J’en étais sur…. Tu es trempée… ». Tes coups de rein… comme toi seul sait me les donner… j’adore ! Tes mains en profitent pour me pincer la pointe de mes seins. J’étouffe difficilement un gémissement. Le plaisir monte en moi rapidement… la situation, ton sexe, … tout m’excite. Tu sens mon sexe autour de toi se resserrer, mon col s’ouvrir pour mieux te sentir. Je jouis dans tes bras, ma tête, ma bouche dans ton cou, me mordant les lèvres pour ne pas attirer….

 

« Il y a un problème ? »

 

Nous stoppons tout mouvement d’un seul coup. Vent de panique dans ma tête au contraire de toi qui reste calme. Tu me repousses gentiment et range rapidement ton sexe. Je te regarde, d’un air effaré, ouvrir la porte à la vendeuse de tout à l’heure.

 

« Non, non… mais mon amie hésite entre les deux ensembles de sous vêtement… peut-être pouvez vous l’aider » Ton sourire… fait encore une fois des ravages. La vendeuse me regarde alors que j’essaie tant bien que mal de cacher mon intimité et mes seins. Elle te sourit à son tour :

 

« Oui, une telle poitrine mérite d’être mise en valeur »

« La votre à l’air d’être splendide aussi… si je peux me permettre »

Alors là, j’en suis soufflée… j’attends de voir l’air scandalisé de la vendeuse ou la gifle qu’elle va te mettre… qui sais….

Mais non… tu es tombé sur une coquine mais moins timide que moi apparemment.

« Merci beaucoup, c’est vrai que j’en suis fière et que j’aime qu’on la regarde »

« Nous aimerions beaucoup en profiter, n’est-ce pas chérie ? »

Je suis tellement surprise que, sur le coup, je ne réfléchi pas… et hoche simplement la tête.

« ça tombe bien… c’est l’heure de ma pause… et de toute façon il n’y a jamais personne à cette heure là »

Coquine mais pas timide… oui c’est sur ! Tu t’approches de moi, enlève doucement mes bras qui essayaient toujours de me cacher. Je me laisse faire. Je t’aime et te fais confiance. Tu mets ton bras autour de ma taille et du regard, m’incite à jouir du spectacle.

 

La vendeuse nous regarde en souriant. Elle défait le nœud de son t-shirt, ouvre un côté. Un peu de dentelle turquoise fait son apparition. Elle ouvre le deuxième côté et nous pouvons admirer un soutien gorge, rempli, débordant de ses appâts appétissants  pour tout homme (hétéro). Elle met ses mains sur ses seins et les frôle lentement en te regardant dans les yeux. Tes yeux justement, naviguent rapidement de ses mains à ses yeux. Elle enlève son haut, t-shirt et soutien gorge compris. Ton regard devient très très excité (il est vrai que tu n’as pas jouis toi !). Tes mains parcourent mon corps, mes seins.

 

« je peux ? »

Quoi ?... mes yeux s’ouvrent subitement, après s’être fermés un court instant sous tes caresses.

Je la vois t’interroger du regard, la main tendue vers moi. Un instant de recul… vite réprimé par ta main dans ton dos.

« Voyons ma douce, elle ne va pas te faire de mal »

 

Ok. Je la regarde avancer vers moi. Ses mains se posent sur mes épaules, les caressent. Elles descendent lentement, glissent vers mes seins, les frôlent, ses doigts effleurent mes aréoles brunes. Malgré moi, je suis encore excitée et ça se voit. Mes tétons se dressent. Sa bouche descend pour lécher la pointe droite. C’est…bon.

 

Je te vois profiter du spectacle que nous te donnons. C’est plus fort que toi. Tes mains veulent toucher. Tu as deux mains, nous sommes deux filles… le compte est bon. Tu enlèves la main de la vendeuse sur mon sein et y pose la tienne. Tu poses l’autre sur son sein, lourd et tendu d’excitation lui aussi. Tu pinces le bout. Elle gémit.

 

Je devrais être jalouse, mais bizarrement, la situation m’excite… tu ne m’oublie pas. Tu la regardes mais tu me regardes aussi. Ton regard est excité lorsque tu la regardes, amoureux aussi lorsque tu me regardes. Je te souris, tu me souris, nous nous embrassons, tes mains toujours occupées.

Pourquoi être en reste ? Mes mains à moi sont libres jusqu’à présent. Je n’ai pas encore osé la toucher. Mais toi, tu es là, dispo. Mes mains libèrent ton sexe et le caressent doucement.

 

La vendeuse, la bouche toujours sur mon sein, voit ton sexe dans ma main. Elle relève la tête, me regarde et avec un  sourire :

« Je peux ? »

Coquine mais polie…

D’accord, je veux bien prêter, mais c’est bien parce que j’ai vu ton regard, et ton espoir que je dise « oui ». Tu veux deux coquines… ok.

La vendeuse descend devant toi, se place à genoux et commence à lécher le long de ton sexe et remonte vers le bout. Bon… elle doit moins bien te sucer que moi (rire) mais, malgré tout, tu as sacrément l’air d’apprécier. De trop je trouve du reste. Je descends moi aussi. Ton sexe peut bien héberger deux langues sur lui…. Tu n’en reviens pas ! Tes deux mains sont sur nos têtes, nous encourageant (comme si nous en avions besoin !!). Tes mouvements de bassin montrent ton excitation croissante…

 

Tu la fais se redresser, la place dos à toi, les mains posées sur le mur devant elle, et tu me places entre elle et le mur. Je devine ce que tu veux faire et rapidement je cherche dans mon sac et me relève en te tendant un préservatif. Tu me regardes en souriant et acquiesce en silence.

 

Tu relèves sa petite jupe… et un petit sourire de surprise s’affiche sur ton visage :

« Pas de culotte non plus… décidément, vous êtes deux coquines »

 

Je vois la vendeuse se tendre vers moi. Tu la prises d’un seul coup de rein. Elle me regarde et je sens une de ses mains se diriger vers mon minou…. Ses caresses suivent ton rythme vigoureux. Sa main connaît apparemment ce qui fait du bien… ce ne doit pas être sa première fois avec une femme. Tes coups se font rapides, ses gémissements aussi. Sa tête est posée sur mon épaule, sa main toujours entre mes jambes, me faisant gémir doucement aussi.

 

Je la sens se tendre. Un cri, léger… sa tête en arrière…. Tu ressens sa jouissance autour de ton sexe.

Tu me regardes, un sourire…. Comme je t’aime…

« Je te veux mon amour… viens… »

 

Nous échangeons nos places avec la vendeuse. Tu enlèves le préservatif… Mon sexe est trempé. Ma jouissance de tout à l’heure, mon excitation, les caresses de la vendeuse…. Je suis à deux doigts de….

 

Ton sexe glisse d’un seul coup en moi, j’aime…. Tes coups de reins vigoureux finissent de me faire jouir très rapidement. Tu n’attendais que ça pour te lâcher toi aussi. Tu sens mon vagin se resserrer autour de toi et d’un coup de rein encore plus profond, tu te libères en moi.

 

La vendeuse nous regarde en souriant. Elle se rhabille rapidement.

« Je serais de vous, je prendrais le bleu, la forme devrait bien vous aller. Au revoir »

Je referme la porte derrière elle, te regarde… un bisou…

 

« Et si je faisais mes essayages maintenant ? »

 

 

Par valsou - Publié dans : textes érotiques
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Lundi 21 mars 1 21 /03 /Mars 21:53

Un texte un peu ancien là encore. Un peu exhib car le destinataire l'était... sourire.

Bonne lecture, bisous

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Nous ne travaillons pas très loin l'un de l'autre et vers 11 h 30, tu m'as appelé pour me demander si une balade à la pause de midi m'intéressait. J'ai réfléchi au moins 3 millièmes de secondes avant de te répondre.... Il fait chaud, le soleil brille, ça me sortirait du bureau, une proposition pour aller se promener dans un parc, avec de l'herbe, des arbres, des canards... C'est vrai quoi..... Il y a vraiment de quoi hésiter... Après avoir….. longuement réfléchi, je t'ai dit oui.

 

Nous arrivons quasiment en même temps sur le parking longeant le parc.

Tu m'embrasses légèrement, d'un simple effleurement de tes lèvres sur les miennes. Ta main se pose dans le creux de mes reins et nous commençons à marcher lentement en suivant l'allée ombragée. La promenade est très agréable. La météo et le cadre y sont pour quelque chose certes, mais ta main qui se promène dans mon dos, ton odeur qui vient chatouiller mes narines, ça compte aussi.

 

Les sportifs que nous croisons nous impressionnent quelque peu, les remous dans l'eau nous font nous interroger sur les animaux qui vivent dans l'eau. Il y a très peu de gens en fait... Un immense saule pleureur me rappelle celui qui était chez mes parents lorsque j'étais petite et que j'aimais rêvasser dessous. Je t'en fais la remarque d'un air nostalgique. Nos pas se sont arrêtés devant. Je sens ta main appuyer dans mon dos pour me faire avancer dans sa direction. Je te regarde d'un air interrogatif...

"J'ai envie de t'embrasser"

"Mais tu peux le faire là"

"Non. Mes mains ont envie d'être sur toi, de te caresser. J'ai envie d'un peu d'intimité..."

Tes paroles, tes yeux qui se sont assombris, ton regard sur moi... Je sens mon sexe qui se serre, pris d'une excitation subite.

Tu dois sentir que tu as gagné, que je suis dans le même état que toi car tu me prends par la main et m'entraine à ta suite.

 

Sous le saule, je crois que l'on pourrait tenir à 6 sans aucun problème. Et là, nous sommes seuls, cachés derrière le rideau épais des feuilles. J'ai l'impression d'être seule au monde avec toi. Nous nous regardons l'un l'autre et notre envie réciproque doit se lire dans nos yeux.

 

Tout en continuant de me regarder, tu me fais m'appuyer le dos contre le tronc de l'arbre sur le côté opposé au chemin. Tes mains se posent sur mes épaules, descendent le long de mes bras... Tu me regardes et je vois ta bouche s'approcher de moi, lentement. Je ne bouge pas… et, enfin, tes lèvres viennent se poser sur les miennes. Tu éparpilles des baisers partout sur ma bouche. A chaque fois que leur douceur se pose sur moi, j'ai l'impression d'être encore plus excitée que la seconde d'avant.

 

Je sens ensuite tes lèvres se poser dans mon cou, juste sous mon oreille, là où j'aime…. Une de tes mains suit la ligne de mon bras…. Mais moi aussi j'ai envie de t'embrasser, envie de te sentir, envie de poser mes lèvres dans ton cou…. Et je  le fait. J'aime ton odeur, j'aime le grain de ta peau sous mes lèvres. Je ne me lasse pas de t'embrasser  mais déjà tes lèvres cherchent encore les miennes. Tu les mordilles très légèrement puis ta langue vient jouer avec la mienne...

 

Ta main remonte le long de mon bras et va effleurer mon sein ce qui me fait gémir d'excitation. Elle se fait ensuite plus ferme et en profite pour pincer légèrement mon téton érigé. Mon bassin se tend en avant sans que j'en sois réellement consciente et je m'aperçois que ton sexe est dur et serré dans ton pantalon. Rien que de me rendre compte de l'état dans lequel tu es me fait gémir un peu plus fort.

 

Tu te recule légèrement et je sens une de tes mains descendre...  elle glisse de ma poitrine en me caressant au passage, le ventre, la taille, le haut des cuisses... Puis mon pubis sur lequel tu poses ta main. Malgré l'épaisseur de ma jupe, je sens parfaitement la chaleur de ta paume qui augmente encore  celle  de mon sexe. Tu appuies légèrement puis de façon plus ferme, tout comme tu appuies ton sexe contre ma hanche, te caressant contre elle, m'excitant... Encore...

 

"Arrête... J'ai envie de toi... Il faut que je me calme"

"Pourquoi ? Je n'ai pas envie que tu te calme... J'ai envie de te donner du plaisir. J'ai envie de sentir ton souffle dans mon cou essayant de ne pas faire de bruit lorsque tu vas jouir sous mes doigts..."

"Nooonn"

"siiii... On ne peut pas nous voir et il ne tient qu'à toi qu'on ne nous entende pas."

Tu fini ta phrase en m'embrassant dans le cou.

 

J'ai du mal à réfléchir correctement avec ta bouche dans mon cou, une de tes mains appuyée sur mon sexe et l'autre qui caresse mon sein. Tes caresses, toi, tes baisers...  Je rends les armes très rapidement et tu le devines car je sens que tu remontes ma jupe pour faufiler ta main dessous.

"Je le savais... J'aime quand tu es offerte ainsi, à ma disposition, nue sous ta jupe"

Tes paroles me font rougir mais comme effectivement j'aime être à ta disposition, alors je me tais, cachant simplement ma tête dans ton cou.

 

Et puis, tout compte fait, d'un seul coup mes craintes s'estompent et je laisse cours à mes envies...

 

Mes lèvres font courir des baisers dans ton cou, ma langue se fait coquine et te lèche juste sous l'oreille. Tes gémissements me font exulter : je ne suis pas la seule à être dans cet état. Mes mains, qui jusqu’à présent, étaient restées relativement sages, te parcourent de moins en moins sagement. Elles parcourent ton torse pendant que je t’embrasse puis une de mes mains glissent vers ton entre jambes. J’ai le plaisir de constater que ton sexe est très coincé dans ton pantalon. Et j’ai envie d’en rajouter…. 

 

Je te caresse donc par-dessus le tissu avec mes doigts, mes ongles, suivant la ligne de ton sexe. Je fais des allers-retours et je sens que ce que je fais ne te calme pas du tout. Tout comme tes doigts ne me calment absolument pas. Au contraire. Un de tes doigts s’amuse à tourner autour de mon clito, tantôt l’effleurant, tantôt le faisant rouler plus franchement, me faisant gémir, me faisant me mordre les lèvres pour ne pas faire de bruit.

 

Tes hanches tentent de s’appuyer un peu plus contre mes doigts. Je décide de faire ce qui n’est absolument pas raisonnable… j’ouvre ta fermeture. J’arrive, avec peine, à sortir ton sexe de sa prison. Je passe mes doigts sur ton gland humide, légèrement, rien qu’en l’effleurant doucement. Je tourne autour, suis le frein, re-tourne autour… j’aime sentir ta main se crisper contre ma taille…. Mes doigts descendent le long de ta hampe, t’enserrent légèrement et commencent un doux va et vient. Tes gémissements sonnent comme une douce musique à mes oreilles.

 

Tes doigts ont désertés mon clito, mais pour suivre la ligne de mes lèvres et s’enfoncer en moi. J’aime te sentir me pénétrer, j’aime me sentir emplie de toi, même si ne sont que tes doigts. Mon bassin avance et recule en cadence, suivant le rythme de tes mouvements en moi. Je ne vais pas tenir longtemps comme ça et tu le sais. Tu décides de me faire jouir car tu reviens sur mon clito pour l’abreuver de caresses, de plus en plus appuyée, de plus en plus rapide. Ma bouche dans ton cou, étouffe un gémissement de plaisir plus fort que les autres, t’indiquant, si besoin est, que je viens de jouir.

 

Mes mouvements autour de ton sexe se sont un peu freinés alors que je jouissais, mes doigts se sont crispés autour de toi, mais après quelques secondes, mes mouvements reprennent, un peu plus rapides. J’aime sentir ton sexe chaud et doux coulisser dans ma main… j’ai toujours trouvé ça très excitant, et aujourd’hui encore plus. J’ai envie de m’agenouiller pour le prendre dans ma bouche mais…. Ma raison l’emporte et je me retiens…. En notant dans un coin de ma tête que ce n’est que partie remise.

 

Je sens tes hanches bouger de plus en plus vite, suivant ou précédant le rythme de ma main sur ton sexe. Je sens les spasmes annonciateurs de ta jouissance que j’accompagne. Je sens ta bouche se poser dans mon cou pour étouffer tes gémissements. Enfin, je sens ta jouissance…. Et un sourire se pose sur mes lèvres...


Par valsou - Publié dans : textes érotiques
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Lundi 24 janvier 1 24 /01 /Jan 11:09

Cela fait un moment que je n'ai pas mis de texte ici. Je vais remédier à cela tout de suite. Voici un petit texte que j'ai écrit il y a longtemps. J'espère que vous aimerez.

Bisous

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Il fait chaud pour un mois d’avril. La météo avait annoncé un temps clément, mais là c’est plus que ça. Le thermomètre affiche un bon 27°. Le soleil brille dans un ciel bleu éclatant, sans nuage. Il fait chaud et elle a chaud en ce début de matinée. Ils se sont levés relativement tôt pour prendre leur petit déjeuner et faire cette ballade qu’ils ont  prévu depuis quelques jours déjà. 

Les toasts sont en train de griller, les bols prêts à être remplis, la confiture, le beurre, tout est là. Elle n’attend  plus que lui. Elle entend toujours l’eau de la douche signe qu’il n’a pas encore fini. Ils ne sont pas pressés mais bon. Elle doit se préparer également. Pour l’instant, elle est encore en petite tenue. Très petite du reste.  Elle n’a enfilé qu’un t-shirt qui ne cache que le minimum et encore… Il suffit qu’elle se penche pour exposer la vue de sa croupe ronde et de sa fente, dont les lèvres seules  sont ombrées de quelques poils courts, comme pour les mettre en valeur. 

Les mouvements de ses doigts frappant la table en cadence, illustrent son impatience croissante. Elle décide de mettre de la musique. Elle se dirige vers l’étagère et regarde, hésitante. Son impatience la rend joueuse,  Elle prend le cd qu’elle a acheté la veille. « L’embellie » de Calogéro. Elle adore ce chanteur…. Elle sourit d’un air entendu et coquin. Elle sait pertinemment qu’il va tiquer car il n’aime pas. Ce sera sa petite vengeance pour avoir ainsi trainé sous la douche. 

D’un pas léger et dansant, chantonnant sur Calogéro, elle se penche contre la barrière du balcon et regarde le paysage qui s’offre face à elle et en bas, dans la rue. C’est un des points positifs d’habiter au dernier étage de cet immeuble. Outre le fait de ne pas avoir de voisins du dessus, il n’y a pas de voisin d’en face…. Elle chantonne et se trémousse au rythme de la musique, au rythme des paroles. 

Tout à coup, une main vient lui claquer une fesse. Elle sursaute en réalisant qu’effectivement, ça fait déjà quelques minutes qu’elle n’entendait plus l’eau couler…

« On profite de mon absence pour écouter n’importe quoi et se trémousser devant la fenêtre à moitié à poil ? »

Elle se retourne, le regarde en souriant.

Ses cheveux ont encore quelques gouttelettes d’eau accrochées aux pointes, ses yeux verts qui la regardent, sa bouche qui lui sourit, son torse qui appelle les baisers et… son sexe, à moitié bandé qui retient son regard…

« Tu peux parler dis donc…. Lequel de nous deux est le plus à poil ?»

« Je suis chez moi, je fais ce que je veux… et de toute façon, on ne risque pas de me voir… »

« Et tu en profites voyou…. »

« Si je n’en profites pas là, où le pourrais-je ? »

« hummm…. »

Elle le regarde, sourire au coin des lèvres. Elle connait ses tendances exhib depuis le début de leur relation.

Elle s’aperçoit en se faisant cette réflexion, qu’il semble en forme. Très. Bon, évidemment sa main sur son sexe, ses doux va et vient, ça doit y être pour quelque chose… et quelque part,  elle espère secrètement que sa tenue, ou plutôt son absence de tenue, y est un peu pour quelque chose aussi.

Il  se recule d’un pas, la regarde en souriant et continue de se caresser lentement. Une main sur son sexe, une main sur ses couilles…… elle profite du spectacle avec délectation… ça l’excite à tous les coups. Elle aime le voir faire, il le sait pertinemment et il en joue.

Ses mouvements sont doux et lorsqu’il la regarde pour vérifier, il voit ses yeux plissés dirigés vers son sexe, il la voit se mordre les lèvres, il voit ses cuisses se serrer en mouvements sensuels. Il est heureux de la voir dans cet état.

Elle le regarde, ou plutôt regarde ses mains s’agiter. Elle sent bien que son excitation monte. Ses joues sont chaudes et elle sent sa chatte s’échauffer elle aussi, de plus en plus. Elle a envie de se caresser, envie de le caresser, envie faire l’amour tout simplement. Mais elle ne bouge pas. Elle sait que l’attente fait parti du plaisir. 

Cependant, toutes les bonnes choses ont une fin. Après quelques instants à le regarder faire, elle ne tient plus et s’approche doucement en le fixant dans les yeux. Elle pose une main sur la sienne afin qu’il n’arrête pas ses mouvements. Ce n’est pas ce qu’elle veut… en tout cas pas pour l’instant. 

Elle le regarde en se passant la langue sur les lèvres. Elle a envie de lui et elle a la ferme intention de tout faire pour qu’il ne pense qu’à elle dans les minutes à venir. 

Elle pose ses mains sur ses épaules, les caressant doucement, caressant son torse aussi au passage. Elle passe ensuite derrière lui pour le frôler de ses doigts et de ses ongles, longs. Un simple affleurement, sur son dos, sa taille, ses fesses… mais ses gémissements lui indiquent qu’il apprécie. Elle parsème ses épaules de baisers légers tout en continuant ses caresses qui passent par moment devant lui, histoire de ne pas oublier la pointe de ses seins qu’elle aime agacer en les pinçant légèrement. 

Elle voit que les mouvements de sa main se sont un peu accélérés… son excitation monte et ça lui donne envie de l’embrasser.  Elle délaisse donc son dos pour repasser devant, embrasser son cou juste sous son oreille, s’enivrer de son odeur. Elle lèche le lobe, suit la ligne du menton qu’elle embrasse également puis va poser ses lèvres sur les lèvres douces de son amant. Ses baisers descendent… un, deux sur son torse, un sur chacun de ses seins, un sur le haut de son ventre….. 

Elle s’agenouille devant lui, lentement, les yeux accrochés aux siens. 

Il a stoppé ses mouvements impatient de voir ce qu’elle allait faire. Elle approche lentement sa bouche, l’entrouvre doucement et sors sa langue qu’elle pose sur le bout de son gland rose et tendu. Elle fait tourner sa langue autour dans un sens puis dans l’autre. Elle aime gouter cette douceur. Les gémissements de plaisir émis par son compagnon et ses mouvement du bassin l’excitent encore un peu plus. 

Une de ses mains vient de se poser sur sa tête. Elle aime sentir cette caresse sur ses cheveux. Elle sait que c’est le signe qu’il a envie qu’elle aille plus loin. Elle aime le prendre dans sa bouche et elle s’en prive rarement. Là, elle se dit qu’elle ne va certainement pas s’en priver. Elle en a envie. Très envie. Elle ouvre donc sa bouche un peu plus et laisse entrer ce sexe qui lui fait tant envie. Ses lèvres l’enserrent mais sa langue continue son ballet. 

Il sent ses lèvres, sa chaleur autour de son membre tendu. Il apprécie et plus que ça. Il l’a toujours trouvée douée avec sa bouche. Une caresse un peu plus appuyée de sa langue le fait sursauter et sa main s’est crispée sur la tête de son amante et ses gémissements se sont faits plus forts. Elle continue quelques instants mais il choisi de l’interrompre en se reculant un peu. 

Il la fait se relever doucement et se place face à elle.

Ses mains se transforment en caresses tendres et excitantes. Il lui caresse les joues, le cou, les épaules, les seins, sur lesquels il reste plus longtemps, le temps de pincer les pointes entre ses doigts, la faisant gémir de plaisir, la taille, le ventre, le pubis….. Pendant que ses mains la parcourent, elle sent ses lèvres l’embrasser. La bouche de son compagnon s’est posée délicatement sur les siennes. Elle sent ses baisers la parcourir un peu partout sur sa figure, dans son cou, sur ses épaules, sur la pointe de ses seins….. Elle aime ses baisers, partout. Elle n’a pas envie de s’en passer. 

Leur bouche se sont retrouvées, leurs lèvres se sont entrouvertes, leur langue se mêlent en un baiser fougueux les laissant quelque peu haletant….. 

« Viens »

Lui dit-il. Il la guide vers la balustrade du balcon où il la fait doucement s’accouder. Il se penche vers elle, se colle contre ses fesses pour prendre ses seins dans ses mains. Il les caresse quelques secondes en pinçant leur pointe par moment ce qui la fait gémir de plaisir. 

Elle sent son sexe contre ses fesses ce qui la fait remuer un peu. Elle a envie de lui. Il se redresse en l’appuyant encore un peu plus contre elle et en caressant son dos, sa taille. Il lui embrasse le dos et tout en continuant ses caresses, il se recule et presque aussitôt,  elle sent une de ses mains passer entre mes jambes et se poser sur sa chatte.

« Mais tu es trempée dis moi »

« Evidemment avec le spectacle et les caresses que j’ai eu…. » 

Elle fini sa phrase dans un souffle car un de ses doigts s’est posé sur son clito. Il le caresse un peu la faisant gémir de plus en plus. Puis, il suit la ligne des lèvres pour enfoncer un de ses doigts en elle…. Bientôt suivi d’un deuxième. Ses vas et viens dans sa chatte, parfois entrecoupés de caresses sur son clito la mettent dans un état indescriptible. 

Elle sent ses doigts s’ôter, rapidement remplacés par son sexe. Elle se cambre de plaisir en gémissant en même temps que lui. Elle aime le sentir en elle ainsi, tout comme il aime se sentir ainsi, enveloppé de sa chaleur. Elle le sent coulisser tantôt doucement, tantôt de façon plus vigoureuse. 

« caresse toi. Je sais que tu en as envie » 

C’est vrai… qu’elle en a envie. Depuis un moment déjà. S’il n’en n’avait pas parlé, elle l’aurait fait de toute façon mais là… c’est si gentiment proposé… qu’elle se fait un plaisir d’obéir et de poser sa main entre ses jambes. Son doigt se pose tout d’abord sur le sexe qui entre et sort… juste comme ça, juste pour le sentir coulisser. Puis, puis il se transforme en caresses, tournant autour de son clito, se posant dessus, appuyant légèrement. 

Ce qu’elle fait, son sexe en elle, ses mains sur ses hanches….. tout contribue à la montée de leur plaisir mutuel. Ils se connaissent et savent bien qu’ils ne vont pas tenir longtemps. Et ils n’ont pas envie de résister. Leurs mouvements se font plus rapides, plus amples. Leur respiration est plus rapide, leurs mains se serrent, elle sur le balcon, lui sur ses hanches. 

Une dernière caresse sur son bouton, un dernier mouvement au fond d’elle et… elle jouit en poussant un cri de plaisir. Cri rapidement rejoint par le sien…. 

Quelques secondes, histoire de reprendre pied, un baiser sur son dos, une caresse sur sa taille, il l’a fait se redresser…. 

 « Le petit déj’ est prêt ? » 

 

 

Par valsou - Publié dans : textes érotiques
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Mardi 28 décembre 2 28 /12 /Déc 15:33

Je navigue dans les couloirs, suivant les flèches… je tourne à gauche, puis à droite, encore à droite… j’y suis. Je frappe doucement à la porte fermée. Une voix d’homme, douce, grave, me dit d’entrer. J’ouvre la porte, la referme derrière moi. L’homme est seul à son bureau. Il est resté plus tard aujourd’hui pour rattraper son travail en retard (ah… msn !). Il fini d’écrire et lève la tête. Je vois ses lèvres former un O de surprise.

 

Tu ne m’attendais pas, évidemment…

 

Je te souris, d’un sourire plus que coquin, avec mes lèvres et avec mes yeux.  Je te vois sourire à ton tour, et je vois ta main sauvegarder sagement ce que tu venais de saisir. Tu es intelligent…

Lentement, très lentement, j’enlève mon manteau. Je suis pull fin et en jupe. Mon décolleté, profond, met en valeur ma poitrine. Je m’approche de ton bureau, face à toi. Je me penche vers toi. Ton visage s’approche du mien. Ton regard se perd en route vers mes seins dont les pointes se font apparentes au travers de mon pull. Nos lèvres se joignent doucement, nos regards rivés l’un à l’autre.

 

En circulant dans les couloirs, je savais ce que je voulais te faire mais je ne savais pas comment. Maintenant je sais. Je me recule et fais le tour de ton bureau. Je m’assois légèrement sur lui, devant toi, entre tes jambes. Tes mains se posent sur mes cuisses, remontent le long de mes hanches, se posent sur mes seins. Je vois que tu es content de me voir. Une bosse se forme entre tes jambes. Une de mes mains te caresse la joue, pendant que l’autre descend, descend toujours plus bas, jusqu’à cette bosse qu’elle frôle, doucement. Je me mords les lèvres. Tes mains ont pincés la pointe de mes seins. Tu me souris de voir les efforts que je fais pour ne pas laisser échapper le moindre son. Lentement, j’enlève tes mains. Tu ne comprends plus.

 

Tu me vois descendre, toujours entre tes cuisses, toujours plus bas, jusqu’à ce que je sois à genoux devant toi. Je me recule sous le bureau. Mes mains s’égarent sur tes jambes de pantalon, remontent, remontent, jusqu’à la fermeture qui, à ce moment, est très tendue. Je la détache, toujours en te regardant. Ton sexe, dur, gros, doux, excité, se tend vers moi. Tu me connais, je ne peux (et ne veux) résister à son appel. Mes doigts le caressent tendrement, le frôlant d’un doigt curieux, de haut en bas, de bas en haut. Ton sexe a l’air d’apprécier…. Mon regard ne te quitte pas, et ne te quitte toujours pas. Tu me vois, approchant lentement ma bouche. Ma langue sort, téméraire. Elle te frôle, te goûte. Elle remonte le long de ce sexe brûlant. Elle s’arrête en haut. Te lèche, t’excite encore plus, ton gland montre son approbation sur ce traitement en laissant sortir quelques gouttes que je savoure. Ma bouche entière prend le relais. Ton sexe commence à s’y enfoncer doucement. Ma langue, à l’intérieur de ma bouche, continue son traitement, voulant te rendre fou de désir. Je t’entends soupirer…. Et j’entends aussi la porte s’ouvrir…

 

« Tu es toujours là ? ».

Heureusement que tu as un bureau du même type que le mien : fermé devant.

« Oui »

Ce « oui » me semble un peu rauque je trouve. Je ne sais pas pourquoi… Je suis d’humeur joueuse…. Alors, au lieu de te laisser répondre calmement, au lieu d’arrêter, je continue. Je prends ton sexe de façon plus profonde. Les caresses de ma langue se font plus précises. Une de mes mains vient à la rescousse et vient caresser tes boules. Je te sens avoir un sursaut.

« tout va bien ? » demande ton collègue…

« oui…… euh…. Oui… je fini juste un truc et je rentre. »

« A demain alors »

« oui à…… demain »…

Demain, deux mains…. Je dois avoir un problème d’audition….mes deux mains sont maintenant sur toi. La première toujours au même endroit, la deuxième aide ma bouche. Je t’aspire tendrement, je sais que tu aimes….. Je vois que tu n’en peux plus. Ton excitation semble terrible. J’en suis heureuse.

Tu te recules soudain, doucement. Tes mains me font me relever. Tu m’embrasses le cou, les lèvres. Un petit « je t’aime » murmuré à mon oreille puis tu me fais me retourner. Tu me poses les mains sur le bureau. Ta main sur mes reins me fait me cambrer. Puis, plus rien… je te vois aller vers la porte et tourner la clé. Tu me regardes et tu me souris.

 

Tu reprends ta place derrière moi. Tes mains se posent sur ma jupe, remontent doucement, emportant ma jupe avec. Tu vois mes bas, noirs. Tu remontes encore. Tes doigts rencontrent ce que tu supposais depuis un moment. J’ai mis un porte-jarretelles pour accrocher mes bas. Tu montes encore…. Pas de culotte, évidemment… Tu te penches à mon oreille 

« tu as besoin de préliminaire ma douce ? ».

Tu sais, et je sais que non. Que je suis tellement trempée, que tu vas glisser en moi sans aucun problème mais je te réponds dans un souffle

« je ne sais pas…. Vas voir ».

 

Je sens ta main passer entre mes cuisses, un doigt frôler mon clitoris, suivre la ligne de mes lèvres, remonter plus haut, vers un endroit encore secret pour toi. Je te sens hésiter puis te décider. Ton doigt entre en moi, dans mon sexe chaud et mouillé.

« Je crois que les préliminaires sont superflus ma chérie ».

Tu te recules. Ton sexe se place tout seul contre mes lèvres. Tu appuis doucement et je te sens d’un seul coup en moi. Profondément. Me remplissant. Tu es excité à fond et tu sais que moi aussi, alors tu te déchaînes… Tes mains sur mes hanches sont fermes, tes coups de reins se font puissants et vigoureux. De plus en plus fort. De plus en plus vite. Tu coulisses parfaitement en moi. Mes mains se crispent sur ton bureau, froissant au passage quelques papiers. Tu sais que j’aime quand tu me prends comme ça. Ton sexe me rend folle de plaisir. Je me sens partir. Mon corps se tend vers toi, se crispe. Mes lèvres sont rouges à force d’être mordues et je les serre encore pour ne pas faire de bruit. Quelques coups de reins encore… puis tu sors de ton écrin chaud.

 

Tu te recule, un peu, me retourne, m’embrasse. J’ai les yeux encore remplis du plaisir violent que tu viens de me donner. Une de tes mains sur mon épaule, l’autre sur ma tête… Elles me font comprendre que je dois me baisser.

 

A genoux devant toi, je vois une de tes mains prendre ton sexe et le guider vers ma bouche. Ma langue pointe et goûte encore ce sexe qui a maintenant l’odeur de mon plaisir. J’aime. Ton gland, gros, doux et plus chaud que jamais, entre dans ma bouche. Tu lui fais faire des va et vient, doucement puis de plus en plus vite. Je sens que tu es à bout. Je sens ton sexe dans la bouche, devenir encore plus gros. Puis tu te crispes à ton tour, tes hanches vers ma bouche, ta main toujours sur ma tête. Je sens ta semence, chaude et sucrée jaillir dans ma bouche. J’avale ton plaisir avec plaisir…. Et me relève. Mes mains remontent le long de ton corps pour arriver sur tes joues. Je prends ta tête avec tendresse et t’embrasse doucement les lèvres.

 

 « bonsoir mon cœur ». 

Par valsou - Publié dans : textes érotiques
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