Vendredi 24 juin 5 24 /06 /Juin 16:58

Sourire... C'est un texte d'actualité, non ???


Ce texte a toute une histoire. Un jour, il y a longtemps, mon interlocuteur allait partir en réunion et nous n'allions pas pouvoir continuer de discuter sur msn. Je n'avais rien à faire et je lui ai demandé de me donner un sujet pour que je m'occupe en lui écrivant un texte. Il m'a dit "un grand magasin et une vendeuse". J'en étais encore à mes tous débuts dans l'écriture et si le thème "grand magasin" ne me posait pas de problème, le "vendeuse" m'en posait beaucoup plus : je n'avais jamais mis de femme encore, dans mes récits érotiques. 


Voici ce que j'ai fait de ce challenge :

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Les soldes


Nos rendez-vous sont toujours des rendez-vous plein d’amour, de tendresse, de surprise. Nos conversations, nos rires, nos promenades n’appartiennent qu’à nous. Ce jour là, nous avons décidé de profiter de la fin des soldes pour aller faire un tour dans les magasins. Par forcément pour acheter, mais pour, essentiellement, le plaisir de flâner tous les deux.


Le temps est ensoleillé, il fait doux. Main dans la main, nous marchons lentement dans la rue piétonne, regardant les vitrines. 


Une boutique de souvenir m’attire… beaucoup de petites fées en vitrine mais aucune qui fait « tilt » en moi. Une bijouterie…. J’admire (je ne suis pas une femme pour rien… rire). Une maroquinerie… ah.. Les sacs à main… une grande histoire d’amour entre eux et moi. Mais rien dans mon budget qui ne me plaise. Tient une armurerie… tu t’arrêtes (évidemment… rire). Tu me la commentes… Tes yeux brillent. Nous repartons. Un grand magasin de vêtements, tu te rappelles que je t’avais parlé de m’acheter une jupe et bien qu’il soit bientôt midi, tu me pousses vers l’entrée pour que nous allions voir. 


Nous nous dirigeons vers le rayon « femme » du deuxième étage. Je regarde, en passant, les « hauts ». Il y en a un qui m’attire particulièrement. Je le prends pour l’essayer puis deux jupes à essayer également. Pendant ce temps là, tu t’es arrêté dans le rayon des sous-vêtements. Tu me montres deux ensembles. « Tu ne veux pas les essayer ? J’ai envie de voir ce que ça donne sur toi ». Je ne vais pas te refuser ça. 


Nous recherchons les cabines d’essayages. 


A cette heure, même si le magasin est ouvert entre midi et deux, nous sommes les seuls clients. Une vendeuse, nous voyant hésiter, vient vers nous. C’est une belle jeune femme. Et c’est une femme comme je les aime… elle ne donne pas l’impression d’avoir pris son dernier repas il y a quinze jours ! Brune, cheveux longs qui encadrent un joli visage, des yeux marron en amande. Maquillée avec soin. Ses chevilles fines sont dans des chaussures à talon et pourtant elle est légèrement plus petite que moi. Sa jupe, s’arrêtant aux genoux, flotte autour d’elle. Son petit haut, un t-shirt qui se croise et s’attache sur le côté, peine à contenir une poitrine que l’on peut deviner sans peine très opulente. Je commence à connaître tes goûts et glisse un regard curieux sur toi. Je ne me suis pas trompée. Tes yeux sont fixés sur cette poitrine qui semble vouloir sortir de son emballage. Tu lui souris, de ton sourire craquant… Elle semble troublée : elle a compris la direction de ton regard. Je souris doucement…. Tu es incorrigible.

 « Vous cherchez quelque chose ? »

« Nous sommes à la recherche des cabines ».

« C’est dans le fond à droite, après les pantalons hommes. »

« Merci »

Les cabines sont effectivement là. Il y en a quatre, larges, avec des portes. J’y rentre avec mon panier et alors que j’allais refermer la porte, je te vois venir avec moi.

 

« Eh…tu ne vas pas rentrer avec moi non ? »

« Ben si pourquoi ? »

« Qu’est-ce qu’elle va dire la vendeuse ? »

« Rien, à part que j’aime te regarder »

 

Ton regard, ton regard qui me fait fondre… Je ferme la porte derrière toi.

 

Il y a très largement de la place pour deux. Je pose mon panier sur la chaise qui est là et te regarde. Tu t’es mis dans l’angle opposé, adossé au mur, ton regard fixé tendrement sur moi. Tu as fait de moi une coquine… une coquine tu verras…

 

Mes yeux sont dans tes yeux. Tout en te regardant, j’accroche mon manteau à la patère.

Mes mains, lentement, relèvent mon pull, le font passer au dessus de ma tête. Mes mains descendent ensuite vers ma jupe… Le bouton est détaché…. La fermeture éclair descendue, lentement. Lentement aussi, ma jupe descend le long de mes jambes, laissant apparaître….  mes bas noirs et mon minou libre de toute entrave. Tes yeux ont vus ce « détail ».

 

« Dis donc coquine, quand est-ce que tu comptais m’avouer ça ? »

« Euh… au restaurant ce midi, mon cœur. Ça te pose un problème ? » Je te regarde en souriant.

« Non, absolument pas, mais je vais avoir du mal à sortir de la cabine maintenant »

Mon regard descend le long de ton corps…. Il s’arrête en voyant ton sexe former une bosse impressionnante. Mon sourire s’agrandit…

« Ah…oui… il faudrait te calmer avant ».

 

Mon côté « coquin » a réellement augmenté depuis nos échanges et j’aime savoir que je t’excite. Mes mains passent dans mon dos, détachent mon soutien gorge. Mes mains le retiennent malgré tout. Je fais passer une bretelle par-dessus mon épaule…. L’autre bretelle…. Je te regarde : tes yeux sont fixés sur ma poitrine. Lentement, doucement, j’enlève ce morceau de tissus qui cache mes seins. Je me redresse fièrement et laisse ton regard me parcourir.

 

« Tu veux que j’essaie lequel en premier mon ange ? »

« Pour l’instant aucun mais tu pourrais peut-être essayer de me calmer…. »

« Ici ? Ça va pas la tête ? »

« Ça ne craint rien. Il n’y a personne et la porte est fermée. Aller…. »

Ton regard… ton sourire…je craque…

 

Je m’approche de toi, pose mes mains sur tes épaules, mon visage dans ton cou. Je te respire, je t’embrasse tendrement dans le cou. Mes lèvres se déplacent vers les tiennes, mes mains glissent le long de ton corps. Elles ont trouvé ce qu’elles cherchaient. Ton bouton, ta braguette…. Ton sexe sorti, se dresse. Je le regarde, te regarde. Ma main le caresse doucement, le frôle, amoureusement… il tressaute… quelques petites minutes de ce traitement et je vois une goutte pointer sur le bout de ton gland : il aime sans doute…

Ton regard, excité, dans le mien…. Tes mains sur mes épaules, se crispent… Elles appuient légèrement, pour me faire comprendre…..

 

Un bisou sur tes lèvres… je descends à genoux devant toi.

Je regarde ton sexe, emprisonné au creux de ma main. Je m’approche lentement. Je sens ton regard sur moi. Ma langue vient laper les gouttes qui luisent sur le bout. J’aime ton goût. Ma langue n’en reste pas là… elle s’entoure autour, le lèche, le savoure… ma bouche s’ouvre et tu t’enfonce en elle. Ta main se resserre sur mon épaule que tu n’avais pas lâchée. Tu aimes. J’aime. Nous aimons…. Mais, apparemment,  tu ne veux pas jouir dans ma bouche car après quelques minutes de ce traitement, tu me fais me redresser, face à toi. Tu places ma jambe droite sur la chaise et, d’un seul coup, vient en moi.

 

« J’en étais sur…. Tu es trempée… ». Tes coups de rein… comme toi seul sait me les donner… j’adore ! Tes mains en profitent pour me pincer la pointe de mes seins. J’étouffe difficilement un gémissement. Le plaisir monte en moi rapidement… la situation, ton sexe, … tout m’excite. Tu sens mon sexe autour de toi se resserrer, mon col s’ouvrir pour mieux te sentir. Je jouis dans tes bras, ma tête, ma bouche dans ton cou, me mordant les lèvres pour ne pas attirer….

 

« Il y a un problème ? »

 

Nous stoppons tout mouvement d’un seul coup. Vent de panique dans ma tête au contraire de toi qui reste calme. Tu me repousses gentiment et range rapidement ton sexe. Je te regarde, d’un air effaré, ouvrir la porte à la vendeuse de tout à l’heure.

 

« Non, non… mais mon amie hésite entre les deux ensembles de sous vêtement… peut-être pouvez vous l’aider » Ton sourire… fait encore une fois des ravages. La vendeuse me regarde alors que j’essaie tant bien que mal de cacher mon intimité et mes seins. Elle te sourit à son tour :

 

« Oui, une telle poitrine mérite d’être mise en valeur »

« La votre à l’air d’être splendide aussi… si je peux me permettre »

Alors là, j’en suis soufflée… j’attends de voir l’air scandalisé de la vendeuse ou la gifle qu’elle va te mettre… qui sais….

Mais non… tu es tombé sur une coquine mais moins timide que moi apparemment.

« Merci beaucoup, c’est vrai que j’en suis fière et que j’aime qu’on la regarde »

« Nous aimerions beaucoup en profiter, n’est-ce pas chérie ? »

Je suis tellement surprise que, sur le coup, je ne réfléchi pas… et hoche simplement la tête.

« ça tombe bien… c’est l’heure de ma pause… et de toute façon il n’y a jamais personne à cette heure là »

Coquine mais pas timide… oui c’est sur ! Tu t’approches de moi, enlève doucement mes bras qui essayaient toujours de me cacher. Je me laisse faire. Je t’aime et te fais confiance. Tu mets ton bras autour de ma taille et du regard, m’incite à jouir du spectacle.

 

La vendeuse nous regarde en souriant. Elle défait le nœud de son t-shirt, ouvre un côté. Un peu de dentelle turquoise fait son apparition. Elle ouvre le deuxième côté et nous pouvons admirer un soutien gorge, rempli, débordant de ses appâts appétissants  pour tout homme (hétéro). Elle met ses mains sur ses seins et les frôle lentement en te regardant dans les yeux. Tes yeux justement, naviguent rapidement de ses mains à ses yeux. Elle enlève son haut, t-shirt et soutien gorge compris. Ton regard devient très très excité (il est vrai que tu n’as pas jouis toi !). Tes mains parcourent mon corps, mes seins.

 

« je peux ? »

Quoi ?... mes yeux s’ouvrent subitement, après s’être fermés un court instant sous tes caresses.

Je la vois t’interroger du regard, la main tendue vers moi. Un instant de recul… vite réprimé par ta main dans ton dos.

« Voyons ma douce, elle ne va pas te faire de mal »

 

Ok. Je la regarde avancer vers moi. Ses mains se posent sur mes épaules, les caressent. Elles descendent lentement, glissent vers mes seins, les frôlent, ses doigts effleurent mes aréoles brunes. Malgré moi, je suis encore excitée et ça se voit. Mes tétons se dressent. Sa bouche descend pour lécher la pointe droite. C’est…bon.

 

Je te vois profiter du spectacle que nous te donnons. C’est plus fort que toi. Tes mains veulent toucher. Tu as deux mains, nous sommes deux filles… le compte est bon. Tu enlèves la main de la vendeuse sur mon sein et y pose la tienne. Tu poses l’autre sur son sein, lourd et tendu d’excitation lui aussi. Tu pinces le bout. Elle gémit.

 

Je devrais être jalouse, mais bizarrement, la situation m’excite… tu ne m’oublie pas. Tu la regardes mais tu me regardes aussi. Ton regard est excité lorsque tu la regardes, amoureux aussi lorsque tu me regardes. Je te souris, tu me souris, nous nous embrassons, tes mains toujours occupées.

Pourquoi être en reste ? Mes mains à moi sont libres jusqu’à présent. Je n’ai pas encore osé la toucher. Mais toi, tu es là, dispo. Mes mains libèrent ton sexe et le caressent doucement.

 

La vendeuse, la bouche toujours sur mon sein, voit ton sexe dans ma main. Elle relève la tête, me regarde et avec un  sourire :

« Je peux ? »

Coquine mais polie…

D’accord, je veux bien prêter, mais c’est bien parce que j’ai vu ton regard, et ton espoir que je dise « oui ». Tu veux deux coquines… ok.

La vendeuse descend devant toi, se place à genoux et commence à lécher le long de ton sexe et remonte vers le bout. Bon… elle doit moins bien te sucer que moi (rire) mais, malgré tout, tu as sacrément l’air d’apprécier. De trop je trouve du reste. Je descends moi aussi. Ton sexe peut bien héberger deux langues sur lui…. Tu n’en reviens pas ! Tes deux mains sont sur nos têtes, nous encourageant (comme si nous en avions besoin !!). Tes mouvements de bassin montrent ton excitation croissante…

 

Tu la fais se redresser, la place dos à toi, les mains posées sur le mur devant elle, et tu me places entre elle et le mur. Je devine ce que tu veux faire et rapidement je cherche dans mon sac et me relève en te tendant un préservatif. Tu me regardes en souriant et acquiesce en silence.

 

Tu relèves sa petite jupe… et un petit sourire de surprise s’affiche sur ton visage :

« Pas de culotte non plus… décidément, vous êtes deux coquines »

 

Je vois la vendeuse se tendre vers moi. Tu la prises d’un seul coup de rein. Elle me regarde et je sens une de ses mains se diriger vers mon minou…. Ses caresses suivent ton rythme vigoureux. Sa main connaît apparemment ce qui fait du bien… ce ne doit pas être sa première fois avec une femme. Tes coups se font rapides, ses gémissements aussi. Sa tête est posée sur mon épaule, sa main toujours entre mes jambes, me faisant gémir doucement aussi.

 

Je la sens se tendre. Un cri, léger… sa tête en arrière…. Tu ressens sa jouissance autour de ton sexe.

Tu me regardes, un sourire…. Comme je t’aime…

« Je te veux mon amour… viens… »

 

Nous échangeons nos places avec la vendeuse. Tu enlèves le préservatif… Mon sexe est trempé. Ma jouissance de tout à l’heure, mon excitation, les caresses de la vendeuse…. Je suis à deux doigts de….

 

Ton sexe glisse d’un seul coup en moi, j’aime…. Tes coups de reins vigoureux finissent de me faire jouir très rapidement. Tu n’attendais que ça pour te lâcher toi aussi. Tu sens mon vagin se resserrer autour de toi et d’un coup de rein encore plus profond, tu te libères en moi.

 

La vendeuse nous regarde en souriant. Elle se rhabille rapidement.

« Je serais de vous, je prendrais le bleu, la forme devrait bien vous aller. Au revoir »

Je referme la porte derrière elle, te regarde… un bisou…

 

« Et si je faisais mes essayages maintenant ? »

 

 

Par valsou - Publié dans : textes érotiques
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Vendredi 24 juin 5 24 /06 /Juin 13:50

J'aime ses marques. Je sais que pour les avoir, j'aurai mal pendant quelques instants (euh.... un peu plus que quelques instants en fait... sourire), mais je les aime. Certaines sont passées à la fin de l'après-midi où nous nous sommes vu, d'autres en quelques jours, d'autres encore, en quelques semaines.

Début avril, nous avons passés quelques heures ensemble.

Heures chaudes... surtout pour mes fesses (même si ma chatte et mes seins n'ont pas été oubliés) !

 

2-04-2011 (7)

 

 

Mon Maître manie la baguette avec art et doigté... sourire

 

 

 

 

 

 

 

 


2-04-2011 (10)

 

 

 

 

Mes fesses ont eu droit à diverses "caresses". Certaines ne m'ont laissé que quelques rougeurs mais la cuillère en bois...... whaou !!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

2-04-2011 (2)

 

 

 

En gros plan, le soir.

Les autres marques se sont bien estompées mais les deux marques de cuillères sont restées rouge et légèrement enflées... sourire

 

 

 

 

 

 

 

 

 

mai 2011

 

 

 

 

 

Je l'ai revu quelques semaines après. Les marques de cuillère étaient toujours un peu présentes et j'en ai récupéré d'autres... sourire.


Elles sont de lui alors évidemment, je les aime mais, malgré tout, je les trouve moins belles que certaines autres.

 

 

 

 

 

 

 

 

mai 2011

 

 

 

 

On voit encore bien la trace de la cuillère... sourire

 

 

 

 

 

 

 

Plus de deux mois après la marque des cuillères, à grande surprise.......


SNC00250 

 


Ma marque est bien moins marquée bien sûr mais.... elle est toujours là !!!

 

 

 

 

 

 

 

Et puisque je suis dans les photos du jour, j'en ai fait une qui vous plaira j'espère


SNC00248

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Bises...

 


 

Par valsou - Publié dans : souvenirs visuels
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Lundi 21 mars 1 21 /03 /Mars 22:04

Ce texte.... je ne l'avais pas prévu totalement ainsi lorsque j'ai commencé à l'écrire. Et puis, comme ça arrive souvent, ma plume n'en n'a fait qu'à sa tête. Là, le dernier mot écrit, ce texte me faisait sourire toute seule et j'étais assez fière de moi.

C'est en fait un des premiers textes que j'ai écrit à mon Maître

 

Bonne lecture, bisous.

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La réunion est ennuyeuse. Un bilan chiffré, détaillé en long, en large et en travers. Elle regarde autour d’elle. Ses compagnons peuvent être divisés en 3 catégories. Les premiers, assidus, qui prennent des notes, l’air absorbé par ce qu’ils entendent, les seconds, qui font semblant, dessinant arabesques et figures géométriques sur leur bloc de papier et enfin les troisièmes, dont elle fait partie, qui ont l’esprit très loin du bureau.

 

Son téléphone s’allume devant elle. Comme tous les autres, l’appareil est devant elle sur la table. Aucune sonnerie car elle fait très attention d’autant plus que les propriétaires des rares appareils qui ont sonnés dans la grande salle de réunion se sont fait remarquer et pas qu’un peu. Elle le prend discrètement dans sa main en voyant le nom s’inscrire sur l’écran. Qu’y a-t-il pour qu’il la contacte ainsi, alors qu’il sait qu’elle est en réunion tout le début d’après-midi.

 

« Tu ouvriras la porte à partir de 19 h à qui sonnera »

Qu’avait-il imaginé ? S’il lui demande ça, c’est que forcément il a prévu qu’elle aurait de la visite. Et pourtant, il est en déplacement pour encore 48 h donc ça ne peut pas être lui. Elle tente de réfléchir rapidement. A qui devrait-elle ouvrir la porte ? Elle ne voit pas. Mais, savoir qu’il pense à elle pendant son absence la réjouit.

 

Quelques minutes après, du coin de l’œil, elle voit son téléphone se rallumer : « tu seras dans la tenue que j’aime ». Ah…. Un sourire illumine ses traits. Elle se voit dans la tenue dont il parle. C’est simple, une longue jupe fendue sur le côté qui laisse voir ses jambes fines lorsqu’elle marche, des sandales à talons, un porte-jarretelles, des bas clairs, un corsage en satin sans manches et très ouvert. Aucun sous-vêtement. Ce n’est pas qu’il n’aime pas la voir en sous-vêtements de dentelle travaillée, mais il trouve surtout que c’est plus pratique pour la caresser et la prendre lorsqu’il en a envie. De son côté à elle, elle trouve très excitant le fait d’être au service de son plaisir, offerte à ses mains, sa bouche et son sexe lorsqu’il en éprouve le besoin.

 

La réunion allait se terminer lorsqu’elle reçoit  un nouveau message « rectification : sans la jupe ». Ah… sans la jupe… c'est-à-dire simplement en porte-jarretelles. Ouvrir la porte dans cette tenue risque d’être équivoque. Vraiment équivoque. Elle pourra peut-être se cacher partiellement derrière la porte….

 

Enfin la réunion se termine. Elle passe à son bureau pour terminer ses travaux en cours. Elle a du mal car elle n’arrête pas de penser à lui, à ses messages. Elle se voit à demi-nue chez elle ce soir pour ouvrir à Dieu sait qui. Elle imagine qui pourra être derrière la porte. Elle imagine ce qui pourra se passer.

 

30 minutes sont passées  lorsqu’un nouveau message apparaît. « Tu  auras ton plug ». Elle se sent rougir. Il sait qu’elle aime l’avoir en elle. Que le sentir au fond de ses reins l’a toujours à la fois excitée et troublée. Son regard reste fixé sur son téléphone alors qu’une enveloppe vient de s’afficher. Un nouveau message. Elle commence à appréhender les messages courts qu’elle reçoit depuis quelques heures.

 

Elle prend sa respiration et appuie sur les touches pour faire apparaître le texto suivant. « Tout compte fait, pas la peine de mettre ton corsage ». Elle lit et relit et hésite entre laisser le rire qui est au bord de sa bouche éclater ou laisser la boule qu’elle a au ventre continuer à enfler…. Elle le remercie mentalement en riant doucement. C’est vrai qu’en porte-jarretelles avec un corsage, le tableau aurait eu une touche étrange. Et… elle aurait du s’en douter. Il lui avait enlevé sa jupe, autant faire pareil avec son corsage. Et sa poitrine, bien que tombante, n’était pas si moche que ça.

 

Elle sourit, d’un sourire franc jusqu’à ce que…. Elle se rappelle qu’elle devra ouvrir la porte dans cette tenue. A ce moment là, son sourire se fige un peu.

 

Elle a beau lui faire entièrement confiance, il ne sera pas là. Elle sera seule avec un inconnu. Rectification, elle sera seule et nue, avec un inconnu. C’est vrai qu’elle a déjà imaginé se donner à un autre oui. Mais avec lui. Et il le sait pourtant. Elle ne comprend pas.

 

« Tu mettras la chainette avec les pinces pour tes seins et tes lèvres ». Encore un message. Et non des moindres. Les pinces ! Il sait qu’elle les adore ses pinces, celles qu’il lui a offert. Il sait qu’elle adore lorsqu’il pince la pointe de ses seins avec elles tout comme il le fait avec ses dents. Elle sent l’excitation augmenter d’un seul coup en elle. Elle sent son ventre se serrer d’envie.

 

Elle très légèrement anxieuse si elle est honnête avec elle-même, mais surtout, elle est excitée. Qu’a-t-il bien pu imaginer ? De toute façon, elle se doute qu’elle aimera. Il la connait suffisamment maintenant pour savoir ce qui la fait mouiller au quart de tour. Et là, c’est le cas. Elle a à la fois des nœuds au ventre et son sexe qui a envie de contracter les muscles pour l’exciter encore plus. Etrange mais agréable…. Si agréable…

 

C’est décidé, elle rentre à la maison. De toute façon, elle est maintenant incapable de se concentrer. Elle ne fait que se trémousser sur son siège depuis 5 minutes. A quoi bon rester.

 

Arrivée chez elle, elle pose précipitamment ses affaires sur son lit et file sous la douche qui, elle l’espère, la calmera un peu. Elle règle l’eau à une température assez fraîche et laisse ses mains enduites de gel douche passer sur son corps. Elle se laisserait bien aller plus loin, à se caresser, à se donner le plaisir que son corps réclame, mais… non. Elle sait qu’elle ne doit pas, en tout cas, pas sans qu’il soit là. Elle termine rapidement sans que le calme salvateur arrive.

 

Elle se sèche consciencieusement, se parfume légèrement, se maquille soigneusement et s’habille….  partiellement. Elle sort du tiroir la chaîne pour ses seins, le plug et le lubrifiant. Il est 18 h 40. Il est temps.

Elle passe un peu de lubrifiant entre ses fesses, sur le bout du plug et l’enfonce en savourant ce qu’il lui fait éprouver.  Ceci fait, elle prend la première pince et la clipse sur le bout de son sein droit avec un léger gémissement de plaisir et de douleur mélangés. Elle fait subir le même traitement au sein gauche, avec le même gémissement. Puis, les lèvres de son sexe. Elle aime cette sensation tout comme elle aime voir cette chaîne devant elle.

 

Elle se dirige vers la cuisine, prend un tablier qu’elle attache rapidement derrière elle. C’est un tablier qui tient par un lien à la nuque comme celui qu’elle avait lorsqu’elle était enfant.  Elle veut  manger rapidement un yaourt, ne sachant pas si elle en aurait l’occasion plus tard. Le pot dans la main gauche et la cuillère dans la main droite, elle commence à être aussi stressée qu’excitée. L’heure approche…

 

On sonne. Elle pose son yaourt, sa cuillère et se dirige vers la porte. Elle prend une grande respiration et…..

« C’est toi ????? Mais je croyais que…. »

« Tu attendais quelqu’un d’autre peut-être ? »

« Non, mais tu devais être absent…. »

« Et je vois que tu en profites pour ne pas respecter mes consignes »

« Mais si… j’ai tout suivi à la lettre… »

« Dans quel message ai-je parlé d’un tablier ? »

« Ah…. J’ai oublié de le poser, c’est tout… »

« On en rediscutera en temps utile, mais tu me connais, je m’en rappellerai… »

« Oui, je sais. Je suis désolée »

« Pose moi ça déjà, et va nous chercher un verre de vin s’il te plait »

Elle pose rapidement son tablier sur la table de la cuisine, ouvre le réfrigérateur, prend la bouteille, deux verres et….

Dringggggggg !!!!!

« Ah oui… j’ai oublié de te dire… j’ai commandé une pizza…. Tu n’as qu’à aller ouvrir…. »

 


 

Par valsou - Publié dans : textes bdsm
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Lundi 21 mars 1 21 /03 /Mars 21:53

Un texte un peu ancien là encore. Un peu exhib car le destinataire l'était... sourire.

Bonne lecture, bisous

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Nous ne travaillons pas très loin l'un de l'autre et vers 11 h 30, tu m'as appelé pour me demander si une balade à la pause de midi m'intéressait. J'ai réfléchi au moins 3 millièmes de secondes avant de te répondre.... Il fait chaud, le soleil brille, ça me sortirait du bureau, une proposition pour aller se promener dans un parc, avec de l'herbe, des arbres, des canards... C'est vrai quoi..... Il y a vraiment de quoi hésiter... Après avoir….. longuement réfléchi, je t'ai dit oui.

 

Nous arrivons quasiment en même temps sur le parking longeant le parc.

Tu m'embrasses légèrement, d'un simple effleurement de tes lèvres sur les miennes. Ta main se pose dans le creux de mes reins et nous commençons à marcher lentement en suivant l'allée ombragée. La promenade est très agréable. La météo et le cadre y sont pour quelque chose certes, mais ta main qui se promène dans mon dos, ton odeur qui vient chatouiller mes narines, ça compte aussi.

 

Les sportifs que nous croisons nous impressionnent quelque peu, les remous dans l'eau nous font nous interroger sur les animaux qui vivent dans l'eau. Il y a très peu de gens en fait... Un immense saule pleureur me rappelle celui qui était chez mes parents lorsque j'étais petite et que j'aimais rêvasser dessous. Je t'en fais la remarque d'un air nostalgique. Nos pas se sont arrêtés devant. Je sens ta main appuyer dans mon dos pour me faire avancer dans sa direction. Je te regarde d'un air interrogatif...

"J'ai envie de t'embrasser"

"Mais tu peux le faire là"

"Non. Mes mains ont envie d'être sur toi, de te caresser. J'ai envie d'un peu d'intimité..."

Tes paroles, tes yeux qui se sont assombris, ton regard sur moi... Je sens mon sexe qui se serre, pris d'une excitation subite.

Tu dois sentir que tu as gagné, que je suis dans le même état que toi car tu me prends par la main et m'entraine à ta suite.

 

Sous le saule, je crois que l'on pourrait tenir à 6 sans aucun problème. Et là, nous sommes seuls, cachés derrière le rideau épais des feuilles. J'ai l'impression d'être seule au monde avec toi. Nous nous regardons l'un l'autre et notre envie réciproque doit se lire dans nos yeux.

 

Tout en continuant de me regarder, tu me fais m'appuyer le dos contre le tronc de l'arbre sur le côté opposé au chemin. Tes mains se posent sur mes épaules, descendent le long de mes bras... Tu me regardes et je vois ta bouche s'approcher de moi, lentement. Je ne bouge pas… et, enfin, tes lèvres viennent se poser sur les miennes. Tu éparpilles des baisers partout sur ma bouche. A chaque fois que leur douceur se pose sur moi, j'ai l'impression d'être encore plus excitée que la seconde d'avant.

 

Je sens ensuite tes lèvres se poser dans mon cou, juste sous mon oreille, là où j'aime…. Une de tes mains suit la ligne de mon bras…. Mais moi aussi j'ai envie de t'embrasser, envie de te sentir, envie de poser mes lèvres dans ton cou…. Et je  le fait. J'aime ton odeur, j'aime le grain de ta peau sous mes lèvres. Je ne me lasse pas de t'embrasser  mais déjà tes lèvres cherchent encore les miennes. Tu les mordilles très légèrement puis ta langue vient jouer avec la mienne...

 

Ta main remonte le long de mon bras et va effleurer mon sein ce qui me fait gémir d'excitation. Elle se fait ensuite plus ferme et en profite pour pincer légèrement mon téton érigé. Mon bassin se tend en avant sans que j'en sois réellement consciente et je m'aperçois que ton sexe est dur et serré dans ton pantalon. Rien que de me rendre compte de l'état dans lequel tu es me fait gémir un peu plus fort.

 

Tu te recule légèrement et je sens une de tes mains descendre...  elle glisse de ma poitrine en me caressant au passage, le ventre, la taille, le haut des cuisses... Puis mon pubis sur lequel tu poses ta main. Malgré l'épaisseur de ma jupe, je sens parfaitement la chaleur de ta paume qui augmente encore  celle  de mon sexe. Tu appuies légèrement puis de façon plus ferme, tout comme tu appuies ton sexe contre ma hanche, te caressant contre elle, m'excitant... Encore...

 

"Arrête... J'ai envie de toi... Il faut que je me calme"

"Pourquoi ? Je n'ai pas envie que tu te calme... J'ai envie de te donner du plaisir. J'ai envie de sentir ton souffle dans mon cou essayant de ne pas faire de bruit lorsque tu vas jouir sous mes doigts..."

"Nooonn"

"siiii... On ne peut pas nous voir et il ne tient qu'à toi qu'on ne nous entende pas."

Tu fini ta phrase en m'embrassant dans le cou.

 

J'ai du mal à réfléchir correctement avec ta bouche dans mon cou, une de tes mains appuyée sur mon sexe et l'autre qui caresse mon sein. Tes caresses, toi, tes baisers...  Je rends les armes très rapidement et tu le devines car je sens que tu remontes ma jupe pour faufiler ta main dessous.

"Je le savais... J'aime quand tu es offerte ainsi, à ma disposition, nue sous ta jupe"

Tes paroles me font rougir mais comme effectivement j'aime être à ta disposition, alors je me tais, cachant simplement ma tête dans ton cou.

 

Et puis, tout compte fait, d'un seul coup mes craintes s'estompent et je laisse cours à mes envies...

 

Mes lèvres font courir des baisers dans ton cou, ma langue se fait coquine et te lèche juste sous l'oreille. Tes gémissements me font exulter : je ne suis pas la seule à être dans cet état. Mes mains, qui jusqu’à présent, étaient restées relativement sages, te parcourent de moins en moins sagement. Elles parcourent ton torse pendant que je t’embrasse puis une de mes mains glissent vers ton entre jambes. J’ai le plaisir de constater que ton sexe est très coincé dans ton pantalon. Et j’ai envie d’en rajouter…. 

 

Je te caresse donc par-dessus le tissu avec mes doigts, mes ongles, suivant la ligne de ton sexe. Je fais des allers-retours et je sens que ce que je fais ne te calme pas du tout. Tout comme tes doigts ne me calment absolument pas. Au contraire. Un de tes doigts s’amuse à tourner autour de mon clito, tantôt l’effleurant, tantôt le faisant rouler plus franchement, me faisant gémir, me faisant me mordre les lèvres pour ne pas faire de bruit.

 

Tes hanches tentent de s’appuyer un peu plus contre mes doigts. Je décide de faire ce qui n’est absolument pas raisonnable… j’ouvre ta fermeture. J’arrive, avec peine, à sortir ton sexe de sa prison. Je passe mes doigts sur ton gland humide, légèrement, rien qu’en l’effleurant doucement. Je tourne autour, suis le frein, re-tourne autour… j’aime sentir ta main se crisper contre ma taille…. Mes doigts descendent le long de ta hampe, t’enserrent légèrement et commencent un doux va et vient. Tes gémissements sonnent comme une douce musique à mes oreilles.

 

Tes doigts ont désertés mon clito, mais pour suivre la ligne de mes lèvres et s’enfoncer en moi. J’aime te sentir me pénétrer, j’aime me sentir emplie de toi, même si ne sont que tes doigts. Mon bassin avance et recule en cadence, suivant le rythme de tes mouvements en moi. Je ne vais pas tenir longtemps comme ça et tu le sais. Tu décides de me faire jouir car tu reviens sur mon clito pour l’abreuver de caresses, de plus en plus appuyée, de plus en plus rapide. Ma bouche dans ton cou, étouffe un gémissement de plaisir plus fort que les autres, t’indiquant, si besoin est, que je viens de jouir.

 

Mes mouvements autour de ton sexe se sont un peu freinés alors que je jouissais, mes doigts se sont crispés autour de toi, mais après quelques secondes, mes mouvements reprennent, un peu plus rapides. J’aime sentir ton sexe chaud et doux coulisser dans ma main… j’ai toujours trouvé ça très excitant, et aujourd’hui encore plus. J’ai envie de m’agenouiller pour le prendre dans ma bouche mais…. Ma raison l’emporte et je me retiens…. En notant dans un coin de ma tête que ce n’est que partie remise.

 

Je sens tes hanches bouger de plus en plus vite, suivant ou précédant le rythme de ma main sur ton sexe. Je sens les spasmes annonciateurs de ta jouissance que j’accompagne. Je sens ta bouche se poser dans mon cou pour étouffer tes gémissements. Enfin, je sens ta jouissance…. Et un sourire se pose sur mes lèvres...


Par valsou - Publié dans : textes érotiques
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Mercredi 16 février 3 16 /02 /Fév 10:30

Avant de connaître mon Maître, je savais que j’aimais que l’on me pince légèrement (euh… un peu plus que légèrement même…) les tétons et que, d’une manière générale, si j’aimais la tendresse et les câlins, j’appréciais aussi un peu plus de « rudesse » de temps en temps.


Depuis…. J’ai rencontré mon Maître qui m’a fait découvrir… certains aspects de ma personnalité que je ne connaissais pas.


Nos rendez-vous sont synonymes de plaisirs et de douleurs mêlés, de rougeurs, de traces plus ou moins appuyées. J'aime les marques qu'il me laisse. J'aime quand elles sont bien définies, visibles. Et si j'apprécie un peu moins lorsqu'elles deviennent difuses et jaunes, en fait, je les aime toutes car je les trouve belles et qu'elles sont tout simplement SES marques...


Voici quelques photos souvenirs de nos dernières rencontres…

SNC00013

Il manie la baguette

avec dextérité...

SNC00012

Autre sein,

autres traces... (sourire)

SNC00022

 

Le même....

quelques jours après

SNC00035

Autre application possible d'une simple....

cuillère en bois !!!!

(je ne vois plus les miennes du même oeil)

SNC00078

 

 Souvenir d'un coup de ceinture....

5 jours après ! 

 

 

 

Par valsou - Publié dans : souvenirs visuels
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